Occurences de l'expression

vous

pour LA MOTTE, Antoine Houdart de

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LA MATRONE D'Ã‰PHÃˆSE (1702)

Si fait, j'ons quelque biscuit, et d'assez bon vin ; voilà la bouteille, vous n'avez qu'à dire. (Acte 1, scène 1, LICAS)
Vous vous moquez , Madame Frosine ; il ne tient qu'à vous que je ne vous sois plus secourable ? (Acte 1, scène 1, LICAS)
Tant mieux, ce serait un meurtre da, de vous laisser mourir, vous n'êtes encore qu'un jeune abre ; et ce serait morguié bien du fruit de perdu. (Acte 1, scène 1, LICAS)
Alle a franchement grand tort de s'obstiner à ça ; alle ne l'aura pas plutôt perdue qu'aile en sera tachée ; aile n'est encore comme vous que dans la primeur de son âge ; et la vie est morgué bonne jusqu'à la lie. (Acte 1, scène 1, LICAS)
À sa santé, je vous la porte. (Acte 1, scène 1, LICAS)
Vous vous plaignez ? (Acte 1, scène 1, LICAS)
C'est ton Maître... non Licas, vous avez beau me presser, je ne prendrai pas le moindre soulagement que ma chère maîtresse ne m'en donné l'exemple. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Vous me refusez, Madame Frosine ? (Acte 1, scène 1, LICAS)
Allons Monsieur, venez vous reposer, il est morgué heure indue de consoler des veuves. (Acte 1, scène 3, LICAS)
Avec vos hélas, vous ne bougez ; détalons, vous dis-je ; il est temps de céder la place aux hiboux. (Acte 1, scène 3, LICAS)
Que je voudrais bien que ceux qui veillont à la garde de ce fripon de qualité qu'on brancha hier, nous prissiint pour gens qui cherchons le débrancher, j'iriins morgué coucher malgré vous ; mais en prison, et vous le mériteriez bian. (Acte 1, scène 3, LICAS)
N'importe, Monsieur, retirons-nous ; il ne fait point bon aux environs, de ces soldats : ce sont des brutaux qui vous cherchont querelle, et qui vous obligeont souvent à troquer votre bourse contre des gourmades. (Acte 1, scène 3, LICAS)
Mais n'importe, il faut intimider les autres : qu'on marche en bon ordre, et faites-moi sauter la cervelle à tout ce qui vous fera suspect. (Acte 1, scène 4, STRATON)
Ma foi, vous ferez comme vous l'entendrez ; j'ai la tête tout en sang ; je m'en vais me faire panser. (Acte 1, scène 5, LE-CUISINIER)
C'est donc vous, Monsieur le maraud ? (Acte 1, scène 7, SOSTRATE)
Quoi, ce n'est que vous Monsieur ? (Acte 1, scène 7, STRATON)
Je vous ai crû un de ces fripons qui viennent de renverser votre souper. (Acte 1, scène 7, STRATON)
Hélas, Monsieur, je vous en demande pardon ! (Acte 1, scène 7, STRATON)
Ma foi, vous n'aurez pas grande peine ; voilà encore le rôt en assez bon état. (Acte 1, scène 7, STRATON)
Hélas, Monsieur, qu'allez vous chercher ? (Acte 1, scène 8, STRATON)
Je vous dis, Monsieur, qu'il n'y a rien de si affreux ! (Acte 1, scène 8, STRATON)
Ah, Monsieur, que dites-vous là ! (Acte 1, scène 8, STRATON)
Voulez-vous vous perdre ? (Acte 1, scène 8, STRATON)
Vous savez quel risque vous courrez à abandonner si longtemps votre poste ? (Acte 1, scène 8, STRATON)
Et si ce que les magistrats ont craint arrivait ; vous savez qu'il n'y a point de grâce à attendre ? (Acte 1, scène 8, STRATON)
Hélas, Monsieur, ne m'exposez point à vous perdre ! (Acte 1, scène 8, STRATON)
Vous vous trompez, Monsieur ; ce sont deux lutins, sur ma parole, (Acte 1, scène 8, STRATON)
Vous verrez que les lutins auront pris cette forme là pour vous attirer sous leurs griffes ! (Acte 1, scène 8, STRATON)
De grâce, Madame, éloignez-vous un moment de ce funeste objet : donnez quelque trêve à votre désespoir, et plaignez-vous du moins sans vous arracher les cheveux, et sans vous meurtrir de vos propres mains. (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Je vous avouerai, Madame, que de moment en moment, votre résolution de mourir me paraît moins raisonnable : je trouvais beau d'abord que vous portassiez l'amour conjugal à un excès qui fit parler de vous ; mais je trouve à présent que c'est une faiblesse, et qu'au bout du compte, tout cet honneur là ne vaut pas la vie : le bon homme Monsieur Chrisante devrait bien vous en avoir persuadée ! (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Hé bien, Madame, oubliez Chrisante ; mais rappelez ses raisons : quel dommage, comme il vous disait si bien, de vous enterrer toute vive à vingt ans ! (Acte 1, scène 9, FROSINE)
La nature vous a-t-elle prodigué tant de charmes, pour en priver si tôt le monde ? (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Et jeune et belle comme vous êtes, croyez-vous vous être acquittée envers elle, en faisant le bonheur d'un seul homme ? (Acte 1, scène 9, FROSINE)
Ne me regardez points Madame, comme un importun qui vienne ici condamner votre douleur, et la redoubler peut-être en la combattant : elle ne saurait être injuste, puisque vous vous y abandonnez ; et vous saurez sans doute lui donner des bornes, dès que la raison l'exigera. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Le hasard ; vient de me conduire ici, mais ce n'est plus lui qui m'y arrête : je sens que je m'intéresse à votre douleur ; l'excès de votre attachement pour un époux m'en inspire un pour vous, que je sens naître avec plaisir : non il n'est point ailleurs d'âme faite comme la vôtre ; et quand vous ne seriez pas la plus belle personne du monde, comme vous l'êtes, vous ne laisseriez pas d'être encore la plus adorable. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Non, vraiment, Madame : il est vrai que vos charmes tirent à la fin ; mais vous serez belle jusqu'au dernier soupir. (Acte 1, scène 10, FROSINE)
Vous ne daignez pas répondre à mon zèle ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Votre esprit est tout occupé de ce que vous avez perdu ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Et vous n'honorez pas de la moindre attention la part et l'intérêt qu'on prend à votre perte ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Encore une fois, Madame, ne craignez rien ; je ne veux point vous distraire de votre douleur : épanchez seulement avec moi, des sentiments que je respecte ; laissez-moi voir ces yeux noyés de larmes, que j'admire : il n'appartient qu'à des veuves moins sincères de cacher des yeux qui les servent mal. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Quels yeux voulez-vous voir ? (Acte 1, scène 10, EUPHÉMIE)
Que dites-vous ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Vous mourriez ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Vous, Madame, vous mourriez ? (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Non, l'estime que j'ai conçue pour vous, ne me laisse pas la liberté de vous en croire : votre âme est capable de douleur ; mais elle ne saurait l'être de désespoir. (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Que vous m'alarmez ! (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Trois jours, Madame, et vous vivez encore ! (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Ne perdez point de temps, Madame ; il faut réparer tout à l'heure, la défaillance où vous vous êtes reduite : ô Ciel, trois jours ! (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Il me semble que vous allez expirer à tout moment ! (Acte 1, scène 10, SOSTRATE)
Oui, Madame ; le don de vous plaire, si je me trompe. (Acte 1, scène 10, FROSINE)
Vous allez être englouti ! (Acte 1, scène 10, STRATON)
N'est-ce pas offenser cet époux même que vous pleurez, que de lui vouloir servir de victime ? (Acte 1, scène 11, SOSTRATE)
Croyez vous que son ombre en veuille à vos jours ? (Acte 1, scène 11, SOSTRATE)
Le Ciel nous avoir faits pour être toujours unis l'un â l'autre ; je ne fais que suivre ma destinée : je sentis cette fatalité dès la première fois qu'il s'offrit à ma vue ; et depuis cet heureux moment, je n'en sache point où je n'aie été uniquement occupée de lui : si j'ai à me reprocher quelque distraction, ce n'est que depuis que vous me parlez ! (Acte 1, scène 11, EUPHÉMIE)
Hé bien, Madame, j'y consens, rappelez tous les plaisirs que vous avez goûtez dans cette union ; c'est pour ces plaisirs mêmes que vous devez vivre : l'amour peut vous réserver un nouvel amant aussi digne que le premier de toute votre tendresse, et peut-être encore plus épris de vos charmes. (Acte 1, scène 11, SOSTRATE)
On ne saurait aussi vous aimer moins, Madame ; l'amour n'est point un sentiment dont vous deviez tenir aucun compte : on le sent malgré soi, dès qu'on a le bonheur de vous voir ; et s'il ne tenait qu'à vous adorer, pour mériter quelque chose auprès de vous, je sens trop que j'aurais droit à toutes vos bontés. (Acte 1, scène 11, SOSTRATE)
Vous abusez de ma douleur, je n'ai pas la force de résister. (Acte 1, scène 11, EUPHÉMIE)
Avez-vous fait, Monsieur Straton ? (Acte 1, scène 12, SOSTRATE)
Non, vous dis-je, ne croyez pas me réduire à ce que vous voulez, j'ai même à présent plus d'une raison pour mourir : je ne veux plus vous entendre ; j'ai honte de vous avoir entendu : laissez-moi mourir ; et laissez-moi mourir fidèle. (Acte 1, scène 12, EUPHÉMIE)
Laissez-moi, vous dis-je ; et cessez de tenter ma constance. (Acte 1, scène 12, EUPHÉMIE)
Je ne vous quitte point. (Acte 1, scène 12, SOSTRATE)
À quoi savez-vous me réduire ? (Acte 1, scène 14, EUPHÉMIE)
Par quel enchantement puis-je consentir à vivre, et à vivre pour vous ? (Acte 1, scène 14, EUPH?MIE)
Oh, je le suppose à merveilles : vous êtes justifiée de reste ; et le défunt n'y saurait trouver à redire. (Acte 1, scène 14, FROSINE)
Je suis délicat aussi, belle Euphémie, et je sens que j'exigerai bientôt de vous, un amour qui ne se rapporte qu'à moi : je ne veux point nourrir en vous la pensée d'aucun autre ; et ce sera peu pour moi de vous avoir consolée, si je ne parviens à vous faire oublier que vous ayez jamais eu besoin de l'être. (Acte 1, scène 14, SOSTRATE)
Mon Maître est délicat, voyez vous ? (Acte 1, scène 14, STRATON)
Mon maître est comme un fou dans son lit ; il prononce à tout bout de champ le nom de Madame, avec des hélas si douloureux que ça vous ferait pitié à vous même. (Acte 1, scène 15, LICAS)
Hé bian, l'impatience l'a pris de savoir de vos nouvelles ; et il se serait levé pour en venir apprendre, si je ne l'en eussions empêché : mais il a voulu à toute force que je vinsse voir si vous étiez morte... (Acte 1, scène 15, LICAS)
Je ne m'attendais morgué pas de vous trouver si en vie que ça. (Acte 1, scène 15, LICAS)
Courage, Madame Frosine ! Vous faites donc vos deux repas par nuit ? (Acte 1, scène 15, LICAS)
J'entends, j'entends ; vela de ce que vous ne me disiez tantôt, qui mettait Madame à la raison. (Acte 1, scène 15, LICAS)
Prétendez-vous encore longtemps troubler nos plaisirs ? (Acte 1, scène 15, SOSTRATE)
Quoi, perfide Euphémie, ne vous seriez-vous renfermée dans le tombeau de votre mari, que pour le faire servir de rendez-vous à un amant qui le déshonore ? (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Non, non, point de Monsieur Chrisante : l'amour que j'avais pour vous se tourne en rage ; et je saurai bien vous faire payer les pleurs que votre fausse vertu m'a coûtées. (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Eh là là, Monsieur ne vous émouvez point tant, ça vous ferait mal. (Acte 1, scène 16, LICAS)
Mais, mais, Monsieur, qu'avez-vous donc tant à nous reprocher ? (Acte 1, scène 16, FROSINE)
Il y a trois jours que vous nous persécutez pour nous résoudre à vivre : notre constance ne tenait plus qu'à un filet ; Monsieur vient de le rompre: qu'y a-t-il là de si étonnant ? (Acte 1, scène 16, FROSINE)
Alle a morgué raison ; vous aviez sapé l'abre ; il était bien aisié de le faire choir. (Acte 1, scène 16, LICAS)
Ah, Sostrate, que vous m'allez rendre malheureuse ! (Acte 1, scène 16, EUPHÉMIE)
Oui, oui, vous la ferez, Madame : je vais crier vos faiblesses dans tout Éphèse ; et il ne tiendra pas à moi que vous ne deveniez la fable de tout l'avenir. (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Au nom des Dieux, mon père, ne réduisez point au désespoir une personne adorable, et que vous trouveriez encore innocente, si vous n'aviez jamais eu pour elle que de l'estime. (Acte 1, scène 16, SOSTRATE)
Taisez-Vous, Monsieur mon fils : vous êtes un impertinent ; et je vous ferai bien acheter l'amour dont vous vous applaudissez. (Acte 1, scène 16, CHRISANTE)
Ah, c'est vous, Monsieur Chrisante ? (Acte 1, scène 17, STRATON)
Qu'allez vous devenir ? (Acte 1, scène 17, STRATON)
Faites vos adieux, Monsieur, et fuyons en diligence ; il n'y a plus de vie pour vous à Éphèse : ces magistrats sont des brutaux qui ne vous feraient pas grâce d'un soupir. (Acte 1, scène 17, STRATON)
Qu'alliez-vous faire ! (Acte 1, scène 17, EUPHÉMIE)
Votre danger rapelie toute ma tendresse ; et je n'ai plus d'autre passion que de vous sauver la vie. (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Ah, mon cher fils, que vous m'attendrissez ! (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Qu'osez-vous penser? (Acte 1, scène 17, EUPHÉMIE)
Ah de grâce, Madame, ne vous effrayez point de ce qu'elle pense ! (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Vous me voyez à vos genoux, pour vous demander la vie d'un fils qui vous a su plaire. (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Ah Chrisante, que me demandez vous ! (Acte 1, scène 17, EUPHÉMIE)
Eh quoi, Madame, quel vain scrupule vous arrête ? (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Ce n'est qu'une bagatelle, Madame, laissez-vous fléchir ? (Acte 1, scène 17, STRATON)
N'hésitez plus, Madame ; je consens que Sostrate s'unisse avec vous pour jamais son intérêt devient vôtre premier devoir : conservez un époux ; et rendez moi mon fils, de grâce. (Acte 1, scène 17, CHRISANTE)
Eh mort de ma vie, ne sauriez-vous entendre Madame, sans qu'elle parle ? (Acte 1, scène 17, FROSINE)
Ah mon cher Maître a que je vous embrasse ! (Acte 1, scène 17, STRATON)
Vous voilà, morbleu, revenu de bien loin ! (Acte 1, scène 17, STRATON)

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LE CARNAVAL ET LA FOLIE (1752)

Ne vous faites point violence : v.15 (Acte 0, scène 1, MOMUS)
Vous ne vous lassez point de plaisirs, ni d'amour; v.28 (Acte 0, scène 1, MOMUS)
Quand cesserez-vous donc de suivre leur empire ! v.29 (Acte 0, scène 1, MOMUS)
Quand vous cesserez de médire. v.30 (Acte 0, scène 1, VÉNUS)
Ah ! Vous voulez aimer toujours. v.31 (Acte 0, scène 1, MOMUS)
Ne pouvez-vous naître v.42 (Acte 0, scène 1, VÉNUS)
De plus doux plaisirs vous attendent. v.60 (Acte 0, scène 2, MERCURE)
De vous voir soupirer près d'elles. v.64 (Acte 0, scène 2, MERCURE)
Livrez-vous aux plaisirs ; qu'en vain la Gloire gronde, v.66 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
Jouissez du loisir qu'un mortel vous a fait. v.69 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
J'obéis à ses lois, et je vous quitte tous ; v.75 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
Mais j'espère bientôt vous revoir sur la terre, v.76 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
Sous des formes dignes de vous. v.77 (Acte 0, scène 2, MOMUS)
Cessez, Mortels, cessez l'honneur que vous nous faites, v.80 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Vous adorez, insensés que vous êtes, v.82 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Des Dieux encor plus insensés que vous. v.83 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Entre vous deux partagez la victoire. v.92 (Acte 1, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous ne pouviez trouver de Maîtresse plus belle : v.122 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Elle seule est digne de vous, v.123 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et vous seule êtes digne d'elle. v.124 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Vous êtes sûr de l'obtenir. v.132 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Vous m'aimez, je vous aime, v.141 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Pour vous ma constance est extrême. v.143 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Je n'aimerai jamais que vous. v.144 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
Vous m'aimez, je vous aime, v.145 (Acte 1, scène 3, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Sans vous rien ne me contente, r v.151 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Vous donnez à tout mille appas : v.152 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Vous êtes la seule beauté, v.156 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Réunit pour vous tous les voeux : v.161 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
En vous cherchant la peine devient chère, v.162 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
On se fait de vous voir le plus charmant plaisir ; v.163 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
Le bonheur même de vous plaire v.164 (Acte 1, scène 3, LA JEUNESSE)
Que tout vous parle ici de l'ardeur qui m'enchante : v.170 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Vous,qui suivez mes pas, servez l'amour extrême v.174 (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
Quoi ! Vous osez.... v.182 (Acte 1, scène 4, PLUTUS, LA JEUNESSE)
En vain ce discours vous offense. v.182 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Vous paye assez de ma naissance. v.186 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Puisque de vous guérir nous perdons l'espérance, v.189 (Acte 1, scène 4, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Je veux vous attendrir par mes chants ; écoutez ; v.195 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Vous languissiez sans moi, brillez par ma présence. v.199 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Souffrez que l'Amour vous lie, v.210 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Souffrez que l'Amour vous lie, v.218 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Souffrez que l'Amour vous lie, v.226 (Acte 1, scène 4, LA FOLIE)
Qu'il triomphe, qu'il vous enflamme, v.232 (Acte 1, scène 4, CHOEUR)
Vous voyez la Déesse à qui je rends les armes : v.234 (Acte 1, scène 4, LE CARNAVAL)
Qu'il triomphe, qu'il vous enflamme, v.247 (Acte 1, scène 4, CHOEUR)
Vous ? v.264 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous voulez rire ? v.266 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous changeriez, Perfide ! Et par quelle injustice !... v.274 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Je vous aimais sans raison, v.275 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Ciel, me réserviez-vous à ce cruel supplice ! v.277 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Goûtez, si vous voulez, le plaisir d'en pleurer, v.280 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Que vous causent mes rigueurs : v.284 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Je dégage mon coeur et je vous rends le vôtre, v.288 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous pouvez éprouver le charme v.293 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Vous serez contente, Inhumaine ; v.297 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous ne méritez que l'oubli. v.300 (Acte 2, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous voyez mon pouvoir ; tous les vents furieux v.309 (Acte 2, scène 2, LA FOLIE)
Dieux ! ô Dieux ! Que nos cris, que nos voeux vous fléchissent, v.316 (Acte 2, scène 2, CHOEUR)
Ce sont mes favoris que vous voyez venir, v.317 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Ne vous éloignez pas ; ils pourront vous apprendre v.319 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Ô vous que le Sort livre à des maux déplorables ! v.328 (Acte 2, scène 3, LE LÉTHÉ)
C'est moi qui vous trace l'image v.343 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Des biens et des plaisirs que vous vous promettez, v.344 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Venez vous embarquer ; v.365 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
Rien ne peut vous manquer : v.367 (Acte 2, scène 3, LA FOLIE)
La raison contre vous n'a que de faibles armes ; v.378 (Acte 2, scène 4, LE CARNAVAL)
Je vous laisse avec le remède, v.384 (Acte 2, scène 4, LA FOLIE)
Vos yeux vous ont appris le pouvoir de ces eaux. v.385 (Acte 2, scène 4, LA FOLIE)
Avez-vous livré votre amant ! v.407 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Si pour vous sa folie est un charme si doux, v.418 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Le jour qu'il soupira pour vous, v.420 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Insultez-vous encore à son trouble amoureux ? v.426 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Vous-même, seriez-vous heureux, v.429 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
Si vous étiez plus sage ? v.430 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
Si vous m'aviez paru trop sensible à sa flamme, v.433 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Je vous aurais caché qu'il ne vous aime plus. v.434 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Ces eaux que vous-même. ... v.436 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
l'oubli succède aux feux que vous aviez fait naître ; v.439 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Et nous ne songerons à vous, v.444 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Vous, allez sceptre vain, dont j'impose mes lois : v.460 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
Vous n'êtes plus pour moi qu'un inutile poids. v.461 (Acte 3, scène 2, LA FOLIE)
Vous, qu'elle a choisi pour la suivre, v.469 (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Craignez de vous faire v.471 (Acte 3, scène 3, CHOEUR DES SUIVANTES DE LA FOLIE)
Si vous voulez plaire v.473 (Acte 3, scène 3, CHOEUR DES SUIVANTES DE LA FOLIE)
Vous, mes chers compagnons, paraissez, venez tous, v.485 (Acte 3, scène 3, LA FOLIE)
Nos tendres plaisirs ne sont pas faits pour vous? v.523 (Acte 3, scène 3, LE MUSICIEN, LE CHOEUR)
Que vous ? v.546 (Acte 3, scène 5, LE CARNAVAL)
Épargnez-vous une plainte frivole. v.547 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Que le Dieu du vin vous console v.548 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Venez, courez au vin que vous avez quitté ; v.551 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Vous trouverez au fond de la bouteille, v.552 (Acte 3, scène 5, MOMUS)
Il jure qu'il vous sert en ravageant ces bords. v.586 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Quoi ? vous m'aimez encore ! v.588 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Eh ! Puis-je vous haïr ! v.589 (Acte 4, scène 2, LE CARNAVAL)
Vous ajoutez encor l'outrage à vos parjures. v.614 (Acte 4, scène 2, LE CARNAVAL)
Pourquoi m'éveillez-vous ? Contraignez vos murmures, v.615 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Respectez le repos que vous m'avez donné. v.616 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Craignez le désespoir où vous m'avez jeté. v.618 (Acte 4, scène 2, LE CARNAVAL)
Ses eaux n'ont pas éteint l'ardeur qui vous possède ; v.622 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
L'eau vous est un fâcheux remède, v.624 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Vous n'en aurez pas pris assez. v.625 (Acte 4, scène 2, LA FOLIE)
Perfide, vous avez éprouvé le contraire. v.631 (Acte 4, scène 2, LE CARNAVAL)
Et voilà désormais le Dieu qui sait vous plaire. v.633 (Acte 4, scène 2, MOMUS)
Quoi ! Vouliez-vous sur les humains, v.637 (Acte 4, scène 3, LA FOLIE)
Eh ! N'est-ce pas de vous que Momus en ce jour v.639 (Acte 4, scène 3, LE CARNAVAL)
Je vous ai trompé l'un et l'autre : v.641 (Acte 4, scène 3, MOMUS)
Le vôtre était de vous aimer, v.645 (Acte 4, scène 3, MOMUS)
N'êtes-vous pas content de cet affreux ravage ! v.648 (Acte 4, scène 4, PLUTUS, LA JEUNESSE)
Vous ne le voulez plus ? v.656 (Acte 4, scène 4, LA FOLIE)
Vous, Mortels, accourez ; tout ici vous engagez v.672 (Acte 4, scène 5, JUPITER, VÉNUS)
Le Sort ne les unit que pour vous rendre heureux. v.675 (Acte 4, scène 5, JUPITER, V?NUS)
La Fête et leur hymen sont si dignes de vous ! v.683 (Acte 4, scène 5, MOMUS)
Folâtrez, folâtrez, rien ne doit vous contraindre. v.701 (Acte 4, scène 5, LE CARNAVAL)

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AMADIS DE GRÈCE (1752)

Mélisse sent pour vous la flamme la plus belle ; v.59 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Vous voulez qu'elle meure, et vous l'abandonnez ? v.73 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Quoi ! Sa beauté ne peut-elle vous rendre v.74 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Tout l'amour que vous lui donnez ? v.75 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Je ne m'oppose plus au soin qui vous agite, v.85 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Quel spectacle ! Qui vous appelle ? v.105 (Acte 1, scène 2, AMADIS)
Et quel enchantement vous offre à mes regards ? v.106 (Acte 1, scène 2, AMADIS)
Pour vous y retenir s'unissent avec nous. v.110 (Acte 1, scène 3, LE CHOEUR)
Pourquoi voulez-vous m'engager v.159 (Acte 1, scène 4, AMADIS)
Oui, Princesse, c'est moi, c'est moi qui vous adore. v.247 (Acte 2, scène 3, AMADIS)
De mon amour douterez-vous encore ? v.248 (Acte 2, scène 3, AMADIS)
Je vous vois, je vous aime, et je puis vous le dire. v.250 (Acte 2, scène 3, AMADIS)
Mais, n'est-ce point un songe ? Êtes vous ce vainqueur ? v.255 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
Mes v[o]eux, faut-il vous croire ! v.257 (Acte 2, scène 3, NIQU?E)
Ah, vous n'êtes que trop d'accord avec mon coeur ! v.258 (Acte 2, scène 3, NIQU?E)
Craignez-vous de me faire un aveu si charmant ? v.260 (Acte 2, scène 3, AMADIS)
Non, vous savez trop ma faiblesse, v.261 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
Vous m'aimez, ma gloire est extrême, v.269 (Acte 2, scène 3, AMADIS)
Pour vous rendre encor plus heureux ! v.274 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
Vous qu'avec moi Zirphée enchanta dans ces lieux, v.280 (Acte 2, scène 3, NIQUÉE)
Ô Dieux, me livrez-vous à cette barbarie ? v.313 (Acte 2, scène 4, AMADIS)
Vous, dont le bruit se mêle à mes tristes accents, v.318 (Acte 3, scène 1, AMADIS)
Vous dont le bruit se mêle à mes tristes accents, v.324 (Acte 3, scène 1, AMADIS)
Reconnaissez la voix qui vous appelle, v.349 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
Quoi ! Vous ne perdez point cette cruelle envie ? v.354 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
Vous verrez sans pitié mes soupirs et mes pleurs ! v.355 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Hélas, si vous mourez, je meurs ; v.356 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Voulez-vous m'arracher la vie ? v.357 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Mes tourments vous sont-ils si chers v.375 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Gardez ces vains plaisirs que vous me proposez, v.386 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
Je ne veux rien de vous, Cruelle, v.387 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Que le trépas que vous me refusez. v.388 (Acte 3, scène 2, M?LISSE)
Vous me l'avez ravi cet objet que j'adore ; v.393 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Vous avez servi mon rival ; v.394 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Sans vous, sans ce secours fatal, v.395 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Je ne puis trop vous détester, v.397 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Inhumaine, achevez... Qui peut vous arrêter, v.399 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
N'osez-vous dans mon sang consommer votre rage ? v.400 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Je voudrais pour vous irriter, v.401 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Pouvoir vous faire encor quelque nouvel outrage : v.402 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Frappez, vous devez vous hâter v.403 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Je sens qu'à chaque instant je vous hais davantage. v.404 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Et vous de mes fureurs, Ministres redoutables, v.411 (Acte 3, scène 2, MÉLISSE)
À quoi par ces horreurs pensez-vous me contraindre ? v.424 (Acte 3, scène 2, AMADIS)
Et vous trompez ses yeux sans séduire son coeur. v.433 (Acte 4, scène 1, LE PRINCE DE THRACE)
Vous, flots impétueux qui battez ce rivage, v.445 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE DE THRACE)
N'ont excité sur vous un plus affreux orage v.447 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE DE THRACE)
Vous, flots impétueux qui battez ce rivage, v.454 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE DE THRACE)
N'ont excité sur vous, un plus affreux orage v.456 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE DE THRACE)
Si je vous aimais moins, je serais plus heureux. v.470 (Acte 4, scène 3, LE PRINCE DE THRACE)
Ciel ! Que me dites-vous ! Ma surprise est extrême. v.471 (Acte 4, scène 3, NIQUÉE)
Le mien, en vous aimant, autant qu'il peut aimer, v.475 (Acte 4, scène 3, NIQU?E)
Voudrait encor vous aimer davantage. v.476 (Acte 4, scène 3, NIQU?E)
Vous cédez à l'éclat du grand nom d'Amadis, v.479 (Acte 4, scène 3, LE PRINCE DE THRACE)
Mais tout m'est cher en vous, et la gloire et l'amour v.482 (Acte 4, scène 3, NIQUÉE)
Vous ne sauriez calmer l'ennui qui me dévore. v.530 (Acte 4, scène 4, NIQUÉE)
De quoi dois-je vous plaindre ! v.534 (Acte 4, scène 5, NIQUÉE)
Pourquoi me trompiez-vous par cette ressemblance ? v.541 (Acte 4, scène 5, NIQUÉE)
Si notre amour a pu vous offenser, v.554 (Acte 5, scène 2, NIQUÉE, AMADIS)
Hélas ! De quoi vous sert la pitié qui vous presse, v.561 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Protégez-vous la barbarie ? v.574 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Ah ! Je tombe à vos pieds, rendez-vous à mes pleurs ; v.581 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Quoi ! Voulez-vous punir nos coeurs v.583 (Acte 5, scène 2, AMADIS)
Est-ce donc pour vous seul, impitoyables Dieux v.611 (Acte 5, scène 4, MÉLISSE)
Que vous réservez la vengeance ? v.612 (Acte 5, scène 4, M?LISSE)
Mais je le veux en vain... Vous défendez ses jours. v.615 (Acte 5, scène 4, M?LISSE)
Je vous entends, grands Dieux, il faut finir mon sort, v.617 (Acte 5, scène 4, M?LISSE)
Tous vos maux sont finis, cessez de vous en plaindre, v.635 (Acte 5, scène 5, ZIRPHÉE)
Que ne vous dois-je point pour de si doux bienfaits ! v.640 (Acte 5, scène 5, NIQUÉE)
Aimez-vous à jamais, v.641 (Acte 5, scène 5, ZIRPHÉE)
Vous, qui vous empressez pour servir mes désirs, v.643 (Acte 5, scène 5, ZIRPH?E)

SCANDERBERG (1735)

Vous réglez tous mes mouvements, v.5 (Prologue, scène 1, POLIMNIE)
Vous m'inspirez le tendre et le terrible. v.6 (Prologue, scène 1, POLIMNIE)
Eh ! Sans moi, pouvez vous enfanter ces miracles, v.14 (Prologue, scène 2, LA MAGIE)
Vous qui suivez toujours mes pas ; v.48 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
De bonheur qui vous attend ; v.59 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Que le prix vous encourage : v.61 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
L'Amour même vous en est garant. v.62 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Suivez le Dieu qui vous inspire, v.72 (Prologue, scène 3, L'AMOUR)
Cette nuit même ici venez vous rendre, v.96 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Vous pourrez fuir de ce séjour. v.98 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Vous pouviez borner votre gloire v.108 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Pourriez-vous partager le flamme v.120 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Que Roxane ressent pour vous ? v.121 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Jusqu'à la nuit vous devez encor feindre v.131 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Je vous réponds de tout, songez à vous contraindre. v.132 (Acte 2, scène 1, OSMAN)
Je vous cherche toujours, je cède à ma faiblesse, v.147 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Je viens vous confier mes déplaisirs secrets : v.149 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
De mon amant, pour vous, j'ai fléchi la rigueur ; v.153 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Si vous aviez voulu m'entendre, v.155 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Vous ont trop dit le prix qu'en demandait mon coeur. v.156 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Du jaloux Amurat vous trahissez la flamme... v.165 (Acte 2, scène 3, SCANDERBERG)
Ma pitié vous sauva la vie ; v.172 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Dussiez-vous me haïr, je ne m'en repends pas. v.173 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Non, je ne hais que moi d'avoir trop su vous plaire. v.174 (Acte 2, scène 3, SCANDERBERG)
Pour prix du jour que je vous dois, v.175 (Acte 2, scène 3, SCANDERBERG)
Faut-il vous exposer à toute la colère... v.176 (Acte 2, scène 3, SCANDERBERG)
Voyez nos jeux, tout ici vous dispense v.188 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Prince, puissent nos jeux vous rendre tout l'amour v.191 (Acte 2, scène 3, ROXANE)
Riantes fleurs, empressez-vous d'éclore. v.229 (Acte 2, scène 4, ROXANE)
Je vous laisse, et je vole où mon devoir m'appelle. v.242 (Acte 2, scène 5, OSMAN)
Que vous me présagez d'horreur ! v.254 (Acte 3, scène 1, SCANDERBERG)
Qu'êtes-vous devenu, cher objet que j'adore ? v.255 (Acte 3, scène 1, SCANDERBERG)
Si vous vivez, si vous m'aimez encore. v.258 (Acte 3, scène 1, SCANDERBERG)
Que vous me présagez d'horreurs ! v.262 (Acte 3, scène 1, SCANDERBERG)
Ah ! Cher Prince, est-ce vous ? v.264 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Est-ce vous, ma Princesse ? v.264 (Acte 3, scène 2, SCANDERBERG)
Et c'est avec vous qu'on m'y laisse ! v.267 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Ah ! Cher prince est-ce vous ? v.268 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Est-ce vous ma Princesse ? v.268 (Acte 3, scène 2, SCANDERBERG)
Vous gémissez ici sous une dure chaîne. v.270 (Acte 3, scène 2, SCANDERBERG)
Ô Ciel ! C'en est donc fait ; je vous perds à jamais. v.274 (Acte 3, scène 2, SCANDERBERG)
Le croyez-vous, qu'on puisse me contraindre v.275 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
À vous manquer jamais de foi ? v.276 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Si vous m'aimez, que puis-je craindre ? v.279 (Acte 3, scène 2, SERVILIE)
Le bonheur de vous plaire est trop cher à ce prix. v.282 (Acte 3, scène 2, SCANDERBERG)
C'est pour vous que mon coeur soupire. v.285 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
J'ai permis qu'un Héros a qui le sang vous lie, v.299 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Serez-vous insensible à l'ardeur qui m'enflamme ? v.318 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Vous ordonnez, Seigneur ; que pourrais-je opposer ? v.328 (Acte 3, scène 3, SERVILIE)
Mais, malgré cette ardeur que vous faites paraître, v.329 (Acte 3, scène 3, SERVILIE)
Tout déprendra de vous, c'est assez que j'espère. v.337 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Venez, accourez tous, vous qui suivez ma loi. v.344 (Acte 3, scène 3, AMURAT)
Tout vous rend les armes, v.376 (Acte 3, scène 4, UNE GRECQUE)
Tout vous rend les armes, v.380 (Acte 3, scène 4, LE CHOEUR)
Tout vous rend les armes, v.390 (Acte 3, scène 4, LE CHOEUR)
Pourquoi le craignez-vous ? v.395 (Acte 3, scène 4, LA GRECQUE)
Tout vous rend les armes, v.398 (Acte 3, scène 4, LE CHOEUR)
Je vais vous délivrer d'un tyran furieux. v.434 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Vous voulez qu'Amurat périsse ! v.445 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Lui dont l'amour vous fit des jours si fortunés ! v.446 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
C'est à vous que mon coeur en fait le sacrifice, v.447 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Et c'est vous qui me condamnez ! v.448 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
L'Amour a fait naître pour vous, v.450 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Que vous-même, à mes yeux, expiriez sous ses coups ! v.452 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Non, vous ne mourrez point ; qu'il soit notre victime. v.457 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Ô Ciel ! Que dites-vous ? v.459 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Ce ne sont point mes jours que vous voulez sauver ; v.462 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Quoi ! Prince, auriez-vous donc cessé de le haïr ? v.472 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Quittez, quittez vous-même un dessein si barbare ; v.478 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Rien ne vous sauverait d'un trop juste courroux ; v.482 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Les traits que vous lancez, retomberaient sur vous. v.483 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Tremblez, du moins, si vous m'aimez ; v.488 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Ah ! Quelle fureur vous entraîne ! v.494 (Acte 4, scène 2, SCANDERBERG)
Ah ! Quelle fureur vous entraîne ! v.496 (Acte 4, scène 2, ROXANE)
Ah ! Quelle fureur vous entraîne ! v.498 (Acte 4, scène 2, ENSEMBLE)
Perfides, venez-vous dans ce sacré Palais v.515 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Vous signaler par des forfaits ? v.516 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Si vous bravez ma menace, v.517 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Dans mon sang osez vous plonger. v.518 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Vous frémissez d'un projet odieux. v.523 (Acte 4, scène 5, AMURAT)
Il a perdu le jour, vous voyez son vainqueur. v.533 (Acte 4, scène 5, SCANDERBERG)
De les voir s'adresser à quelque autre que vous. v.581 (Acte 5, scène 2, SCANDERBERG)
Daignez encor vous faire violence, v.582 (Acte 5, scène 2, SERVILIE)
Je vous vois, vous m'aimez, mon sort est trop charmant. v.592 (Acte 5, scène 2, SCANDERBERG, SERVILIE)
Épargnez ce que vous aimez. v.612 (Acte 5, scène 3, SERVILIE)
Laissez vous attendrir ? v.614 (Acte 5, scène 3, SCANDERBERG)
Au nom de tout l'amour que vous m'avez fait voir... v.619 (Acte 5, scène 3, SCANDERBERG)
Au nom de tout l'amour que vous m'avez fait voir... v.622 (Acte 5, scène 3, SCANDERBERG)
Vous périrez tous deux. v.624 (Acte 5, scène 3, ROXANE)
Vous dont le destin m'a fait maître, v.638 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
Des peuples qui vous ont vu naître : v.640 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
Connaissez quel Vainqueur vous a rendu les armes. v.642 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
Je vous soumets tout l'Univers. v.644 (Acte 5, scène 5, AMURAT)
La beauté seule a droit de triompher de vous. v.648 (Acte 5, scène 5, LE CHOEUR)
Vous vous aimez, perfides ! v.686 (Acte 5, scène 4, AMURAT)
Votre secret échappe, et je vous ai surpris. v.687 (Acte 5, scène 4, AMURAT)
Tremblez vous recevrez le prix v.688 (Acte 5, scène 4, AMURAT)
Je partage les voeux que ce jour vous inspire, v.710 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
Quand sur mes pas vous voliez à la Gloire, v.713 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
Vous a ravi l'éclat de la victoire, v.716 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
Vous en goûtez les fruits en recevant le Paix. v.717 (Acte 6, scène 2, AMURAT)
N'attirez point sur vous le céleste courroux. v.783 (Acte 6, scène 5, SERVILIE)
Laissez en paix un coeur qui ne peut être à vous. v.785 (Acte 6, scène 5, SERVILIE)
Vous m'auriez donc flatté d'une vaine espérance ? v.786 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Et vous ordonnez on supplice, v.791 (Acte 6, scène 5, AMURAT)
Si je vous perds, en périrai-je moins ? v.797 (Acte 6, scène 6, SCANDERBERG)
Vous plaindrez mon destin, il 'ne jouira pas : v.799 (Acte 6, scène 6, SCANDERBERG)
Vous allez trahir qui vous adore. v.803 (Acte 6, scène 6, SCANDERBERG)
Venez donc et jurez... Vous balancez encore ? v.805 (Acte 6, scène 6, AMURAT)
Que ma mort vous réconcilie. v.814 (Acte 6, scène 6, SERVILIE)

INÈS DE CASTRO (1723)

Vous, Rodrigue, le sang vous attache à sa gloire. v.3 (Acte 1, scène 1, ALPHONSE)
S'applaudit avec vous de vos nouveaux honneurs. v.10 (Acte 1, scène 2, L_AMBASSADEUR)
Qui dans un successeur vous reproduit vous même. v.12 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Vous vit des Africains terrasser l'insolence ; v.20 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Vous traciez la carrière où son courage vole ; v.23 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Dès que vous remettez votre foudre en ses mains, v.25 (Acte 1, scène 2, L, AMBASSADEUR)
Oui, Madame, Constance avec vous amenée, v.47 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Peut-être que le jour qui m'unit avec vous, v.49 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Ne prévoyez-vous point un peu de résistance, v.71 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
J'ai lieu, vous dis-je encor, de craindre ses mépris. v.86 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
Mais il n'a pas voulu vous y voir rappeler v.89 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
De quelle incertitude alarmez-vous mon âme ? v.92 (Acte 1, scène 3, ALPHONSE)
Inès, vous entendez ses desseins et mes craintes ; v.116 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Et, si vous le vouliez, vous pourriez m'informer v.117 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Vous avez de l'infant toute la confidence. v.119 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Je ne jouirais pas sans vous de sa présence. v.120 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Madame, croyez-vous le prince si sauvage v.135 (Acte 1, scène 4, INÈS)
Ce que vous en pensez, il aimait à le dire. v.140 (Acte 1, scène 4, IN?S)
Eh ! Pourquoi, s'il l'aimait, ne le dire qu'à vous ? v.141 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Il vous parle de vous. v.144 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
De vous-même. v.144 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Je vous crois son amante ; ou, pour m'en détromper, v.145 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Car je veux bien ici vous découvrir mon âme ; v.147 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Livrez-moi ce qu'il aime ; ou je m'en prends à vous. v.162 (Acte 1, scène 4, LA REINE)
Vous perdue ! Et pourquoi ces mortelles terreurs ? v.173 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Qu'en vous donnant ma main, prévoyait ma tendresse. v.175 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Il va vous demander pour elle cette foi, v.177 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Qui n'est plus au pouvoir ni de vous ni de moi. v.178 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Si vous voyez la rage où son coeur s'abandonne v.180 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Calmez-vous chère Inès ; votre frayeur m'offense. v.187 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Eh ! De qui pouvez-vous redouter la vengeance, v.188 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Ah ! Prince, pensez-vous que je craigne pour moi ? v.190 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Je crains cet intérêt dont vous touche ma vie. v.192 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Je sais ce que ma mort vous coûterait de pleurs ; v.193 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Vous le savez : l'espoir d'être un jour couronnée, v.195 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Vous savez que pour vous, me chargeant de ce crime, v.199 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Je vous ai vu tout prêt à vous percer le sein ; v.202 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Il fallait vous sauver ; et j'ai tout hasardé. v.206 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Vous fîtes tout pour moi ; je ferai tout pour vous. v.214 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Si je tremblais pour vous... v.221 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Je frémis de l'excès où vous vous emportez. v.222 (Acte 1, scène 6, INÈS)
Pour prix de mon amour, rappelez-vous sans cesse v.223 (Acte 1, scène 6, IN?S)
La grâce que de vous exigea ma tendresse. v.224 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Le jour heureux qu'Inès vous reçût pour époux, v.225 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Vous la vîtes, seigneur, tombant à vos genoux, v.226 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Vous conjurer ensemble et de m'être fidèle, v.227 (Acte 1, scène 6, IN?S)
De n'oublier jamais que vous avez un roi. v.230 (Acte 1, scène 6, IN?S)
Je ne vous promis rien ; et je sens plus encore v.231 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Et vous m'êtes d'un prix à qui tout doit céder. v.234 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Vous livrerait sans doute aux rigueurs de la loi ; v.250 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Cachez bien l'intérêt que vous y pouvez prendre. v.260 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Adieu ; reposez-vous sur la foi qui m'engage, v.263 (Acte 1, scène 6, DON PEDRE)
Vous n'alliez pas d'un fils solliciter la foi ? v.270 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
À le précipiter qui peut donc vous contraindre ? v.275 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
D'un injuste délai m'entendez-vous me plaindre ? v.276 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
De vous voir témoigner si peu d'empressement. v.282 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Et moins vous vous plaignez, plus vous me faites voir v.285 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Vous m'avez toujours vue attentive à vous plaire ; v.292 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
L'infant est-il pour vous un objet odieux ? v.297 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Que vous trouviez sa main indigne de la vôtre ? v.299 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Pourquoi craindre l'instant qui vous joint l'un à l'autre ? v.300 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Mais, je ne feindrai pas de le dire à vous même, v.307 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Et vous jugez combien dans mon âme charmée v.315 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Quand on vous racontait sur l'Africain jaloux v.317 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Tant d'exploits étonnants, s'il n'était né de vous, v.318 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Ma fille, car l'aveu que vous daignez me faire, v.335 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Vient d'émouvoir pour vous des entrailles de père. v.336 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Ne vous alarmez point d'un malheur impossible. v.339 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Et, quoique vous pensiez, vous verrez dés ce jour v.341 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Mais, si mes pleurs sur vous ont encore quelque empire... v.344 (Acte 2, scène 1, CONSTANCE)
Et de vôtre bonheur reposez-vous sur moi. v.346 (Acte 2, scène 1, ALPHONSE)
Vous m'ayez laissé voir si peu d'impatience ; v.356 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Il vous faille avertir, ordonner d'être heureux. v.358 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Ne vous ordonner rien !... À ce mot téméraire, v.363 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Ne croyez pas qu'ici je vous fasse une offense v.367 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Mais vous figurez-vous que ces grands hyménées v.371 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
De vous dire, Seigneur, que malgré ces maximes, v.387 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Lorsque de Ferdinand vous obtîntes la mère, v.396 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Ne vous ont pas laissé douter de ma tendresse : v.400 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Vous ne pouviez prévoir cet obstacle secret v.401 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Que le fonds de mon coeur vous oppose à regret ; v.402 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Et cependant il faut que je vous le révèle ; v.403 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Si mes jours vous sont chers ; si depuis mon enfance v.407 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Vous pouvez vous louer de mon obéissance ; v.408 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Du mortel désespoir de vous désobéir. v.414 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Je vous aime ; et déjà d'un discours qui m'offense, v.415 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Vous auriez éprouvé la sévère vengeance, v.416 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
N'hésitait à trouver en vous un criminel : v.418 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Mais ne vous flattez point de cet espoir frivole, v.419 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Que mon amour pour vous balance ma parole. v.420 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Mais en rompant les noeuds qui vous ont engagé, v.429 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Voulez-vous que bientôt Ferdinand outragé, v.430 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Ah ! Seigneur, est-ce à vous ! v.433 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Bravez des ennemis que vous pouvez abattre. v.435 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Heureux, si je pouvais dans l'ardeur de vous plaire, v.443 (Acte 2, scène 2, DON PEDRE)
Vous parlez en soldat, je dois agir en roi . v.446 (Acte 2, scène 2, ALPHONSE)
Il me couvre de honte, et vous et votre fille ; v.480 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Sa complice, Seigneur ; vous la voyez. v.485 (Acte 2, scène 3, LA REINE)
C'est en vain qu'on m'accuse ; et vous ne croirez pas... v.502 (Acte 2, scène 3, INÈS)
Ne désavouez point Inès que je vous aime. v.503 (Acte 2, scène 3, DON PEDRE)
Taisez-vous. v.506 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Je veux qu'on la retienne, et je vous la confie. v.508 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Ô ciel ! En quelles mains l'allez-vous hasarder ? v.510 (Acte 2, scène 3, DON PEDRE)
Vous exposez ses jours... v.511 (Acte 2, scène 3, DON PEDRE)
Vous pouvez dans ce jour réparer vos refus ; v.513 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Mais ce jour expiré, je ne vous connais plus. v.514 (Acte 2, scène 3, ALPHONSE)
Vous ne voyez ici que coeurs désespérés ; v.521 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Mais je vous tiens captive, et vous m'en répondrez. v.522 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Vous ne fléchirez point une jalouse mère ; v.524 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Et je vous jure ici que mon ressentiment v.525 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
Pourrait... vous pâlissez, à ce nouveau danger. v.530 (Acte 2, scène 5, LA REINE)
De quoi m'allez-vous informer ? v.533 (Acte 2, scène 6, CONSTANCE)
Le prince ose vous refuser. v.537 (Acte 2, scène 6, LA REINE)
Voilà, voilà l'objet qui vous fait mépriser. v.538 (Acte 2, scène 6, LA REINE)
Ah ! Ne vous chargez pas de ces barbares soins. v.541 (Acte 2, scène 6, CONSTANCE)
La laisserez-vous donc encor s'en applaudir ; v.562 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
De la sévérité si vous craignez l'excès, v.565 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
Voulez-vous tous les jours qu'une fière sujette, v.567 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
Venez, venez, Inès. Peut-être attendez-vous, v.593 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Vous jetez la discorde au sein de ma famille ; v.595 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Contre le Portugal vous armez la Castille, v.596 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Que d'un fils indiscret vous approuviez la flamme ; v.600 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
D'un service si grand plus je vous peins l'éclat, v.621 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Plus vous voyez combien je craindrais d'être ingrat. v.622 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Et vous même jugez par d'illustres effets v.625 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Rodrigue est de mon sang, il vous aime, Madame ! v.627 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Je vous donne à ce prince, et par un si beau don v.629 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Mes peuples par le rang où ce choix vous appelle v.631 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
L'honneur de vous les rendre en fût la récompense : v.636 (Acte 3, scène 3, INÈS)
Ils ont fait leur devoir, vous ne leur devez rien. v.638 (Acte 3, scène 3, IN?S)
Je vous demanderais pour unique faveur v.641 (Acte 3, scène 3, IN?S)
Je vous entends, v.646 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Quoi ! C'est donc pour mon fils que vous vous réservez ! v.649 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Et c'est contre son roi, vous, qui le soulevez ? v.650 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Il vous tarde à tous deux qu'une mort désirée v.651 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Mon fils doit avec vous partager sa grandeur ; v.654 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Ne brûle d'être roi que pour vous faire reine. v.656 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Ô ciel ! Que pensez-vous ? v.661 (Acte 3, scène 3, INÈS)
Si jamais vous l'osiez, v.661 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Si d'un noeud criminel je vous savais liés, v.662 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Et qu'il faudrait un jour le signaler sur vous. v.670 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Inès, si vous osiez justifier ses craintes ! v.671 (Acte 3, scène 3, ALPHONSE)
Vous, retenez Inès. v.687 (Acte 3, scène 4, ALPHONSE)
Épargnez-vous la menace et l'outrage. v.688 (Acte 3, scène 5, INÈS)
Quand je suis mille fois plus à plaindre que vous. v.690 (Acte 3, scène 5, IN?S)
Hélas ! D'Alphonse seul le sort vous inquiète. v.691 (Acte 3, scène 5, IN?S)
Si dom Pedre périt, vous êtes satisfaite. v.692 (Acte 3, scène 5, IN?S)
Osez-vous affecter ce chagrin magnanime, v.699 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Cruelle ; quand c'est vous qui le forcez au crime ? v.700 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Quand vous voyez l'effet d'un amour applaudi, v.701 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Que du moins par l'espoir vous avez enhardi ? v.702 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
On vous aime, il suffit ; je ne vous hais pas moins. v.706 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
De dom Pedre et de vous mes malheurs sont le crime, v.707 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Puissiez-vous l'un et l'autre en être la victime. v.708 (Acte 3, scène 5, LA REINE)
Qu'avez-vous fait, Prince ; et faut-il vous voir v.713 (Acte 3, scène 6, INÈS)
J'en frémis ; dans quel sein l'auriez-vous donc trempée ! v.720 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Par ces doutes affreux vous me glacez d'horreur. v.721 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Je me suis jusqu'à vous ouvert d'autres chemins ; v.726 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Hâtez-vous, suivez-moi. v.729 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Dans ce désordre affreux, je ne puis vous entendre. v.731 (Acte 3, scène 6, INÈS)
À vous perdre innocent, qu'à vous sauver coupable. v.736 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Je ne crains que pour vous un monarque irrité. v.738 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Et ne puis rien sur moi, tant que je crains pour vous. v.742 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Ah ! Par tout ce qu'Inès eût sur vous de puissance, v.743 (Acte 3, scène 6, INÈS)
Mais si vous m'en croyez moins qu'une aveugle rage, v.747 (Acte 3, scène 6, IN?S)
Quoi ! Barbare, osez-vous refuser mon secours ? v.749 (Acte 3, scène 6, DON PEDRE)
Vous allez voir Alphonse ; et sa seule présence v.751 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
S'il vous voit... v.756 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
Est-ce à vous de trembler pour ma vie, v.756 (Acte 3, scène 7, DON PEDRE)
Ne perdez point de temps ; hâtez vous et fuyez ; v.761 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
Je vous pardonne tout, pourvu que vous viviez. v.762 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
Ne vous exposez point à la rigueur fatale... v.763 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
Fuyez, vous dis-je encor, fut-ce avec ma rivale. v.764 (Acte 3, scène 7, CONSTANCE)
En vous la remettant ma perte est infaillible ; v.771 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Elle veut en ces lieux vous répondre de moi. v.782 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Hâtez-vous donc, Seigneur, d'ordonner mon supplice. v.788 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Songez, si vous n'usez d'une prompte rigueur, v.789 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Vainement vous croyez la révolte calmée ; v.791 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Le peuple malgré vous peut briser ma prison. v.793 (Acte 3, scène 8, DON PEDRE)
Vous jugez de l'arrêt que vous devez attendre ; v.848 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Et quand par vos fureurs vous m'avez offensé, v.849 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
C'est vous-même, mon fils, qui l'avez prononcé. v.850 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Vous pouvez cependant mériter votre grâce. v.851 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Tout irrité qu'il est, ce coeur parle pour vous ; v.853 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Peut me rendre mon fils, et va vous rendre un père. v.856 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
C'est moi qui vous en prie ; et dans mon tendre effroi, v.857 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Je cherche à vous fléchir, moins pour vous que pour moi. v.858 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Et si vous refusez ce noeud trop attendu, v.861 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
J'en mourrai de douleur ; mais vous êtes perdu. v.862 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
Il tient encor de vous un coeur trop magnanime. v.864 (Acte 4, scène 2, DON PEDRE)
Vous rougiriez pour moi, s'ils me faisaient trembler. v.866 (Acte 4, scène 2, DON PEDRE)
Voila mes sentiments ; vous pouvez prononcer. v.870 (Acte 4, scène 2, DON PEDRE)
Faites entrer les grands ; et vous, Prince, sortez. v.882 (Acte 4, scène 2, ALPHONSE)
D'un trouble égal au mien vous paraissez saisis ; v.885 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Vous semblez tous avoir à condamner un fils. v.886 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Triomphons vous et moi d'une vaine tristesse. v.887 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Vous savez que l'infant par un refus rebelle, v.891 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Vous avez à venger la grandeur souveraine ; v.899 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Vous avez vu le crime ; ordonnez-en la peine. v.900 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Vous, Rodrigue, parlez. v.901 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Je vous ai pour Inès fait connaître mon coeur. v.902 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
De vous-même aujourd'hui je l'aurais obtenue ; v.904 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Et vous me commandez de juger mon rival ! v.906 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Ce que vous ressentez, vous dit ce que je pense. v.908 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Pour ce cher criminel tout doit vous attendrir. v.909 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Eh ! Quel autre après vous en soutiendrait la gloire ? v.915 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Vous ne l'avez point vu : mais vos regards surpris v.917 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Il ose, dites-vous, violer les traités ; v.921 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
N'avez-vous pas, Seigneur, par vos empressements v.925 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Mais vous-même jugez du dessein qui l'anime. v.932 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Daignez lui rendre Inès ; vous retrouvez un fils, v.937 (Acte 4, scène 3, RODRIGUE)
Même, en vous abusant, est bien digne d'estime. v.944 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Et vous prononcez moins en juge qu'en héros. v.946 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Il tient de vous la vie, et je la tiens de lui. v.958 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Et je ne vois ici que ce que je vous dois. v.962 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
C'est ma sincérité. Vous l'allez donc connaître. v.963 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Sont ceux de vôtre rang, et ne sont point à vous. v.970 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Quoique d'un tel arrêt la rigueur vous confonde, v.971 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Vous en êtes comptable à tous les rois du monde. v.972 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
S'il faut qu'en sa faveur la pitié vous fléchisse, v.975 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Vous ne règnerez plus qu'au gré de son caprice. v.976 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Vous verriez tous les coeurs appuyer ses projets ; v.981 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
Vous n'auriez qu'un vain trône, il aurait les sujets. v.982 (Acte 4, scène 3, HENRIQUE)
C'est à vous, chers sujets, que je le sacrifie ; v.996 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Consolez-vous. Songez que ma prompte vengeance v.999 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Et vous de son destin, Mandoce, allez l'instruire. v.1004 (Acte 4, scène 3, ALPHONSE)
Devoir impitoyable, êtes-vous satisfait ? v.1006 (Acte 4, scène 4, ALPHONSE)
Tout le conseil en pleurs d'avec vous se sépare. v.1016 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
Vous avez condamné votre fils ! ... v.1018 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
Pouvez-vous l'avouer ? Ciel ! Et puis-je l'entendre. v.1019 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
Vous ait réduit, Seigneur, à la nécessité. v.1022 (Acte 4, scène 5, LA REINE)
Pourquoi jugez-vous sa mort si nécessaire, v.1023 (Acte 4, scène 5, ALPHONSE)
C'est à vous de penser que j'ai dû pardonner. v.1026 (Acte 4, scène 5, ALPHONSE)
Ah ! Si je vous suis chère, v.1028 (Acte 4, scène 6, CONSTANCE)
Allez ; parlez ; pressez ; vous obtiendrez sa grâce. v.1032 (Acte 4, scène 6, CONSTANCE)
Et fiez-vous à moi de vos vrais intérêts. v.1034 (Acte 4, scène 6, LA REINE)
Vous savez mon amour ; et vous avez pu voir v.1042 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Si pour le mieux servir, votre amour vous éclaire, v.1048 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Vous savez quels amis peuvent s'unir pour lui, v.1049 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Tout ce que vous feriez, si vous n'étiez captive ; v.1052 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Vos conseils sont des lois que vous m'allez dicter, v.1053 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Dans un trouble si grand j'ai peine à vous répondre. v.1055 (Acte 4, scène 8, INÈS)
Le prince ne vous doit paraître qu'un ingrat ; v.1057 (Acte 4, scène 8, IN?S)
D'un outrage apparent vous avez vu l'éclat ; v.1058 (Acte 4, scène 8, IN?S)
Vous seule auprès du Roi, m'ouvrant un libre accès, v.1065 (Acte 4, scène 8, INÈS)
Parlez vous-même au Roi ; qu'il consente à m'entendre. v.1068 (Acte 4, scène 8, IN?S)
Je sauverai le prince ; et peut-être pour vous. v.1070 (Acte 4, scène 8, IN?S)
Vous me feriez, Madame, une injure cruelle v.1071 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Puisse aujourd'hui le ciel vous prêter d'autres armes. v.1076 (Acte 4, scène 8, CONSTANCE)
Qu'avez-vous obtenu ? Vous êtes outragée, v.1079 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Ma fille, et vous semblez craindre d'être vengée ! v.1080 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Prétendez vous qu'Alphonse écoute encor Inès ? v.1082 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Vous exposer à voir deux amants odieux v.1085 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Quand Lisbonne avec vous a reçu votre fille, v.1091 (Acte 5, scène 1, CONSTANCE)
Je les hais d'autant plus que vous leur pardonnez. v.1106 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Vous avoir méprisée est le plus grand des crimes. v.1108 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Qui vous fait le jouet d'un farouche dédain ? v.1110 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Don Pedre a pu lui seul vous faire cet outrage. v.1111 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Je sens pour vous l'affront que vous ne sentez pas ; v.1113 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Vous voulez donc le mien ? v.1115 (Acte 5, scène 1, CONSTANCE)
L'aimeriez-vous encore ? v.1115 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Ce sont autant de coups dont vous percez mon coeur. v.1118 (Acte 5, scène 1, CONSTANCE)
À quels affreux destins êtes-vous condamnée ! v.1120 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Vous laisse vos vertus et se charge du crime. v.1128 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
C'est par pitié pour vous que je m'arme contre eux. v.1130 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
Il faut vous l'accorder. v.1141 (Acte 5, scène 3, ALPHONSE)
Vous l'avez condamné, Seigneur, malgré vous-même, v.1143 (Acte 5, scène 4, INÈS)
Ce fils que vous aimez, ce héros qui vous aime ; v.1144 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Marque assez la pitié qui vous parle pour lui. v.1146 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Vous ne l'écoutez point. L'inflexible justice v.1147 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Vous voulez, aux dépens des destins les plus chers, v.1149 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Il vous pouvait d'un mot prouver son innocence ; v.1159 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Et sur quelle espérance osez-vous me l'apprendre ? v.1168 (Acte 5, scène 4, ALPHONSE)
Quand vous voyez pour lui l'excès de ma rigueur, v.1169 (Acte 5, scène 4, ALPHONSE)
Pensez-vous pour vous-même attendrir mieux mon coeur ? v.1170 (Acte 5, scène 4, ALPHONSE)
Et je ne prétends rien, en vous éclaircissant, v.1173 (Acte 5, scène 4, INÈS)
Que vous m'avez tantôt jurée inviolable ; v.1176 (Acte 5, scène 4, IN?S)
Heureuse, d'avoir pu vous le sauver deux fois ! v.1190 (Acte 5, scène 4, IN?S)
On vous amène encor de nouvelles victimes. v.1196 (Acte 5, scène 5, INÈS)
Pourriez-vous refuser à leurs pleurs, à leurs cris v.1209 (Acte 5, scène 5, INÈS)
De mériter de vous ce secret que j'implore. v.1216 (Acte 5, scène 5, IN?S)
Ma fille, levez-vous. Ces enfants que j'embrasse v.1223 (Acte 5, scène 5, ALPHONSE)
Aimez toujours ce fils que mon amour vous laisse. v.1228 (Acte 5, scène 5, ALPHONSE)
Seigneur, à mes transports ne vous dérobez pas. v.1238 (Acte 5, scène 6, DON PEDRE)
Vous me rendez Inès ! v.1241 (Acte 5, scène 6, DON PEDRE)
D'un père qui vous plaint, soulagez les douleurs. v.1258 (Acte 5, scène 6, INÈS)
Vous demande le prix des vertus de l'infante. v.1260 (Acte 5, scène 6, IN?S)
Par ses soins généreux, songez que vous vivez. v.1261 (Acte 5, scène 6, IN?S)
Mais n'oubliez jamais combien je vous fus chère. v.1264 (Acte 5, scène 6, IN?S)

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OMPHALE (1751)

Vous, qui suivez l'Amour, Grâces, Plaisirs, et Jeux, v.1 (Prologue, scène 1, LA PREMIÈRE GRÂCE)
Soient le trait qui vous blesse. v.8 (Prologue, scène 1, LA PREMI?RE GR?CE)
Allez, partez, déchaînez-vous; v.53 (Prologue, scène 1, L'AMOUR)
C'est en vain que je vous rappelle ; v.73 (Acte 1, scène 1, IPHIS)
C'est en vain que je vous rappelle ; v.82 (Acte 1, scène 1, IPHIS)
Vous, allez ; que vos soins répondent à mes voeux. v.94 (Acte 1, scène 2, ALCIDE)
Vous ne sauriez désirer plus de gloire ; v.104 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Vous aimez ! Eh ! Quelle est la beauté qui vous blesse ? v.115 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Ah ! Vous aimez votre faiblesse. v.120 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Si vous défendiez votre coeur, v.121 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Et vous en seriez le vainqueur, v.123 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Si vous ne craigniez pas de l'être. v.124 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Vous n'avez pu l'aimer : son art, sa jalousie v.129 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Prévenez ses fureurs... Mais rien ne vous alarme, v.131 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Et vous n'écoutez plus qu'un amour qui vous charme. v.132 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Les Ministres sacrés du Dieu qui vous fit naître. v.148 (Acte 1, scène 3, IPHIS)
Vous avez dans ces lieux rétabli ma puissance : v.154 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Je vous demande encor, pour dernière faveur, v.157 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Ô vous ! Qui dans vos mains soutenez le tonnerre, v.173 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous pouvez mieux répondre au zèle qui m'en flamme, v.192 (Acte 1, scène 4, ALCIDE)
Déjà vous m'entendez, vous pénétrez mon feu ; v.196 (Acte 1, scène 4, ALCIDE)
Quoi ! Seigneur, lorsqu'en vain Argine vous adore, v.198 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
De si faibles attraits vous auraient enflammé ? v.199 (Acte 1, scène 4, OMPHALE)
Alcipe vous a fait l'aveu de son ardeur, v.208 (Acte 2, scène 1, CÉPHISE)
Qu'il doit vous être doux de régner dans un coeur v.210 (Acte 2, scène 1, C?PHISE)
Que dites vous ? Pourquoi vous en faire un supplice ? v.218 (Acte 2, scène 1, CÉPHISE, DORIS)
Vous savez trop qu'Alcide est le plus glorieux ; v.225 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Savez-vous moins quel est le plus aimable ! v.226 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Est-ce Iphis que vous aimeriez ? v.227 (Acte 2, scène 1, CÉPHISE)
En pénétrant mon choix, vous le justifiez. v.228 (Acte 2, scène 1, OMPHALE)
Vous allez recevoir l'hommage le plus doux, v.238 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Belle Reine ; je viens vous annoncer la Fête v.239 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Qu'Alcide prépare pour vous. v.240 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Ciel ! Quel funeste aveu venez-vous de me faire ! v.245 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Alcide seul devait vous enflammer. v.247 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Aimez un Héros qui vous aime ; v.258 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Tout vous dit de changer quand Alcide vous aime. v.269 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Si vous aimiez, Iphis, changeriez-vous de même ? v.270 (Acte 2, scène 2, OMPHALE)
Vous vous troublez ! Quelle est cette douleur mortelle ? v.273 (Acte 2, scène 2, OMPHALE)
Vous voyez, malgré moi, mon crime et mon tourment, v.275 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Que dites-vous, Iphis ? v.279 (Acte 2, scène 2, OMPHALE)
Je vous fais un aveu que je vais expier ; v.280 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Et fi je vous apprends un amour téméraire, v.281 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Ma mort vous aidera bientôt à l'oublier. v.282 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Mon coeur, en vous aimant, vous a fait une offense ; v.285 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Mais vous avez dans ma douleur v.286 (Acte 2, scène 2, IPHIS)
Reine, leur repentir vous répond de leur foi. v.291 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
Ne pourrai-je à mon tour vous attendrir pour moi ? v.293 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
Je veux par mille soins vous prouver mes ardeurs. v.295 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
L'objet qui m'a charmé règne aux lieux où vous êtes, v.300 (Acte 2, scène 3, ALCIDE)
Suivez l'Amour quand ce Dieu vous appelle ; v.312 (Acte 2, scène 3, LE THÉBAIN, LA THÉBAINE)
C'est l'Amour qui vous presse, v.326 (Acte 2, scène 3, LE THÉBAIN, LA THÉBAINE)
C'est l'Amour qui vous presse, v.334 (Acte 2, scène 3, LE CHOEUR)
Je romprai tous les noeuds que l'Amour vous destine. v.358 (Acte 2, scène 4, ARGINE)
Puissiez vous aux regards d'une Reine si belle v.461 (Acte 3, scène 4, CÉPHISE)
Ô Dieux ! En vous cherchant que j'ai craint pour sa vie ! v.508 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Et je les combattrai, sans me plaindre de vous, v.514 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Quelle est l'erreur où je vous vois ? v.526 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Non, je ne vous hais point. v.527 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Je ne vous quitte point. S'il faut qu'elle périsse, v.560 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Mous voyez son amant, vous verrez son vengeur. v.561 (Acte 3, scène 6, ALCIDE)
Que vois-je ! Où courez-vous, Alcide ! v.576 (Acte 4, scène 2, IPHIS)
Ah ! Nommez le mortel dont l'ardeur vous outrage, v.584 (Acte 4, scène 2, IPHIS)
Et laissez-moi l'honneur de vous venger. v.585 (Acte 4, scène 2, IPHIS)
Vous savez sa haine, v.597 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Vous pouvez par votre art découvrir ce qu'elle aime. v.601 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Vous prenez ma fureur pour un amour jaloux. v.604 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Nommez-le, je me venge, et je pars avec vous. v.609 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Hâtez-vous de répondre à mon impatience ; v.610 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Non, si je vous suis cher, contentez mon envie. v.614 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Consultez le Destin, faites vous cet effort. v.617 (Acte 4, scène 3, ALCIDE)
Et vous qui sous mes lois commandez aux enfers, v.625 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Hâtez-vous, traversez les airs, v.626 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Et vous, rendez Pluton propice à mes efforts. v.632 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
C'est à vous que le sort révélait ses secrets v.649 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Vous voyez chez les morts ses ordres de plus près, v.651 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Venez, et puissiez-vous prononcer des arrêts v.652 (Acte 4, scène 4, ARGINE)
Des doux plaisirs qui vous enchantent. v.716 (Acte 5, scène 2, OMPHALE, LE CHOEUR)
Vous ne souffrirez pas longtemps de ma présence. v.734 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
Et mon unique bien est de vous voir toujours. v.738 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
C'est pour vous seul que je soupire. v.742 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
Par le plaisir de vous le dire. v.744 (Acte 5, scène 3, OMPHALE)
Quand vous cessez de le dire un moment, v.751 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
Vous ne pouviez aimer un plus fidèle amant. v.754 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
Quel nom prononcez-vous ? Dieux ! Mon trouble est extrême. v.758 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
En goûtant mon bonheur, j'oubliais qu'il vous aime : v.759 (Acte 5, scène 3, IPHIS)
Où sont-ils ? Mais que vois-je ! Ah ! C'est vous, Inhumaine, v.768 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Vous pleurez, vous gardez un silence confus, v.773 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Vous soupirez, Dieux ! Quel trouble est le vôtre ! v.774 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Vous m'en haïssez encor plus. v.776 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Vous attendiez, Cruelle, v.777 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Ce Mortel trop heureux qui vous a su toucher ; v.778 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Ah ! Cher Iphis, quelle rage vous guide ! v.796 (Acte 5, scène 4, OMPHALE)
Songiez-vous que ce coup m'allait donner la mort ? v.797 (Acte 5, scène 4, OMPHALE)
Que dites-vous ? Vos jours dépendent de sa vie ? v.798 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Quoi ! Je vivrais sans vous ! Dieux ! Quel serait mon sort ! v.816 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Allez, unissez-vous d'une éternelle chaîne, v.823 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Je ne veux plus vous séparer. v.824 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)
Aimez-vous, oubliez ma honte et votre peine ; v.825 (Acte 5, scène 4, ALCIDE)

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LES MACHABÉES (1722)

Gardes, exécutez l'ordre que je vous donne. v.1 (Acte 1, scène 1, ANTIOCHUS)
Et vous, Barsès, allez avertir Antigone : v.2 (Acte 1, scène 1, ANTIOCHUS)
De quoi vous flattez-vous ? Et de quelle vengeance v.13 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Où vous puissiez encor, lui portant votre offrande, v.17 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Songez à vous. Lui-même est dans l'oppression. v.19 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Vous n'avez plus de lois. Vos oracles proscrits v.23 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Quand d'un affreux revers vous devenez l'exemple, v.25 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Réclamez-vous encore un dieu que j'ai détruit ? v.28 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Vous croyez effrayer le crédule univers : v.44 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Mais désabusez-vous, fanatiques coupables. v.45 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Vous du moins frémissez ; et si vous êtes mère, v.78 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
Gardes, retenez-la. Vous apprendrez leur sort. v.96 (Acte 1, scène 2, ANTIOCHUS)
De vos maux avec vous je ressens la rigueur. v.115 (Acte 1, scène 3, THARES)
Mais il vous reste encor l'espérance au Seigneur. v.116 (Acte 1, scène 3, THARES)
Madame ; vous l'auriez désarmé par vos pleurs ; v.136 (Acte 1, scène 3, THARES)
Mais vous l'aigrissiez, lui qu'il fallait attendrir. v.139 (Acte 1, scène 3, THARES)
Moi que vous pénétrez, puis-je vous secourir ? v.140 (Acte 1, scène 3, THARES)
Plus vous serez cruels, plus ils seront heureux. v.159 (Acte 1, scène 3, SALMONEE)
Quel changement, ô ciel ? Madame, est-ce vous-même ! v.161 (Acte 1, scène 3, THARES)
Vous offrez, sans frémir, les plus chères victimes. v.165 (Acte 1, scène 3, THARES)
Vous êtes désormais la plus triste des mères. v.214 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Vous n'avez plus que moi ; ces enfants si chéris... v.215 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Ils sont morts ! Pourquoi donc vous revois-je, mon fils ? v.216 (Acte 1, scène 4, SALMONEE)
Et je reviens pleurer mes frères avec vous. v.224 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Vous n'avez qu'à choisir. Nous ne choisissons pas, v.252 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Que sur vous mon aînesse a réclamé ses droits. v.260 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Arrachés et brûlants... vous frémissez !... v.269 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Figurez-vous toujours la même violence, v.272 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Eh ! De quel oeil, mon fils, avez-vous vu ces larmes ! v.285 (Acte 1, scène 4, SALMONEE)
Que me demandez-vous ? Par quel trouble indiscret v.286 (Acte 1, scène 4, MISAEL)
Suivez-moi, Misaël : le roi veut vous parler. v.290 (Acte 1, scène 5, BARSES)
Madame, où voulez-vous aller ? v.291 (Acte 1, scène 5, BARSES)
Qu'espérez-vous pour lui de ce retardement ? v.302 (Acte 2, scène 1, CEPHISE)
Je vois que cet amour vous coûtera la vie. v.337 (Acte 2, scène 1, CEPHISE)
Qu'entends-je ! Êtes vous née au milieu d'Israël ? v.362 (Acte 2, scène 1, CEPHISE)
Par quel charme avez-vous de ce tigre irrité... v.394 (Acte 2, scène 1, CEPHISE)
Chaque jour vous apprend le pouvoir de vos charmes. v.416 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
Vous vouliez qu'il vécût : il voit encor le jour ; v.418 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
Si vous m'avez cru ferme, avez-vous donc pu croire v.432 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Après mes frères morts, pensiez-vous que mon coeur v.434 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Ne vous figurez pas que regrettant leur vie, v.440 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Mes frères sont heureux ; et c'est à vous, Seigneur, v.442 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Mais ce qui seul en vous doit exciter ma haine, v.444 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Et s'obstine à vous perdre en le persécutant. v.447 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Telle qu'elle est pourtant, voudrez-vous me permettre v.464 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
De vous dire à quel prix je dois encor la mettre ? v.465 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Consacrez parmi vous au temple de Vénus ; v.471 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
À ces grands noms, Seigneur, vous devriez vous rendre. v.477 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Si je puis vous fléchir, si j'obtiens ces bienfaits, v.482 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Les juifs vous béniront, ils vous seront fidèles ; v.484 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Ou je vous vengerai moi-même des rebelles. v.485 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Rois pour les nations, pour nous vous n'êtes qu'hommes. v.493 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Ministres du Très-haut, quand vous croyez régner, v.494 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Vous verriez dans l'instant que ce pouvoir fragile v.496 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Et quand vous l'outragez, sa main appesantie v.500 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
L'un par l'autre à son gré vous frappe et vous châtie. v.501 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Vous même regardez quel sceptre est dans vos mains. v.502 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Vous allez imposer des lois aux Ptolomées, v.505 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
Et vous n'osez sortir du cercle qu'il vous trace, v.508 (Acte 2, scène 2, MISAEL)
C'est vous qui pour ses jours m'avez intéressé ; v.514 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
C'est à vous de fléchir ce courage insensé. v.515 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
Ou ne vous plaignez plus qu'elle lui soit ravie. v.521 (Acte 2, scène 2, ANTIOCHUS)
Je ne m'en défends point ; vous l'apprenez du roi, v.522 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
L'intérêt que j'y prends, vous la rend-il affreuse ? v.525 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Et quand j'ose partout vous chercher du secours, v.526 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Démentirez-vous seul ma pitié pour vos jours ? v.527 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Se peut-il que pour vous Antigone sensible v.528 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Fléchisse les tyrans et vous trouve inflexible ! v.529 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Vous ne m'écoutez pas, vous évitez mes yeux ! v.531 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Vous l'avez déjà vu, je n'en frémirai pas. v.535 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Malgré tous mes combats redouble auprès de vous. v.563 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Par ce nouvel aveu je cherche à vous déplaire : v.564 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Je veux vous irriter, ou contre un téméraire, v.565 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Qui brûle de mourir pour ne vous aimer pas. v.567 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Vous m'aimez. Ah ! Voilà le comble des malheurs ! v.574 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Vous m'aimez et je meurs ! v.575 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Vous dites que le monde est sorti de ses mains, v.590 (Acte 2, scène 1, ANTIGONE)
Il veut que je vous fuie ; et pour le satisfaire, v.600 (Acte 2, scène 1, MISAEL)
Je vous l'ai dit, Seigneur : j'espère le fléchir : v.614 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Et vous aviez encore à craindre que son zèle v.616 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Vous le faites garder en ces lieux par Barsès, v.618 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Vous l'avez dû prévoir, un esprit si hautain v.622 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Mais fiez-vous à moi ; je saurai le sauver. v.626 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Pour calmer mes chagrins, le ciel vous a fait naître ; v.629 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Pour attendrir mon coeur, vous offrit à mes yeux. v.631 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Eh ! Pourquoi souffrez-vous que ce trouble empoisonne v.648 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Tout ce vaste pouvoir que le destin vous donne ? v.649 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Tandis que vous avez, Seigneur, de toutes parts v.650 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Que parlez-vous de sang, il n'y faut plus penser. v.662 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Eh ! Vous n'étiez pas né, Seigneur, pour en verser. v.663 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Ne vous fait point goûter une barbare joie. v.665 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Votre coeur malgré vous sensible et généreux, v.666 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Pourquoi vous laissez-vous livrer par la colère v.668 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
À cette cruauté qui vous est étrangère, v.669 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Que vous ne trouvez point au fonds de votre sein ? v.670 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Devenez moins superbe, et vous êtes humain. v.671 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Il est temps d'être aimé, c'est trop vous faire craindre. v.673 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Avec plus de repos, si vous voulez régner, v.674 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
Par le dessein qu'ici je vais vous déclarer. v.679 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Je vous offre ma main, il est temps, Antigone, v.680 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Venez m'aider vous-même à regagner les coeurs. v.687 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Et je ne connais plus que l'orgueil de vous plaire. v.689 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Et que vous espérez d'en faire un infidèle. v.693 (Acte 3, scène 1, SALMONEE)
Non, madame, souffrez plutôt qu'il vous apprenne v.696 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
À vous rendre vous-même à ma loi souveraine, v.697 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Je vous pouvais tous deux combler de mes bienfaits. v.699 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Vous me glacez d'effroi par un accueil si doux. v.702 (Acte 3, scène 1, SALMONEE)
Et mon fils chancelant, prêt à vous satisfaire, v.704 (Acte 3, scène 1, SALMONEE)
Obéissez vous-même aux ordres qu'elle donne, v.709 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Et vous et votre fils vous êtes sous sa loi. v.711 (Acte 3, scène 1, ANTIOCHUS)
Quoi ! Madame, c'est vous qui cherchez à nous nuire ! v.712 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Misaël me restait, vous voulez le séduire, v.713 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Je ne connais que trop, puisqu'il faut vous le dire, v.716 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Ce que vos yeux sur lui vous ont acquis d'empire : v.717 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Gardez-vous d'employer ce funeste pouvoir v.718 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Faut-il que vous portiez plus loin la tyrannie ? v.721 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Que vous vouliez sans cesse à son coeur combattu v.722 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Et ne serait-ce pas à vous-même à chercher v.726 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Ce même appui qu'ici vous m'osez reprocher ? v.727 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Vous n'avez pas conçu d'autre bien que la vie, v.729 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Et quoique nous disions, vous n'imaginez pas v.730 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Ce que vous connaissez d'honneurs et de plaisirs : v.739 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Notre coeur expirant ne vous enviera rien. v.743 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Madame vous pleurez, et votre coeur soupire ! v.745 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Voudriez-vous enfin me rendre Misaël ? v.747 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Atteinte autant que vous de vos vives alarmes, v.748 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Mais par votre douleur plus vous m'attendrissez, v.750 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Dans mon dessein aussi plus vous m'affermissez. v.751 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Oui votre fils vivra, j'ose vous en répondre. v.752 (Acte 3, scène 3, ANTIGONE)
Plus vous m'en répondez, plus je me sens confondre. v.753 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Je ne puis donc vous vaincre, et vous vous obstinez v.754 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Dans ce projet fatal que vous entreprenez. v.755 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Vous voulez éprouver jusqu'où mon fils vous aime, v.756 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Vous voulez dans son coeur triompher de Dieu même. v.757 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Pressez-le de choisir entre vous et la mort : v.759 (Acte 3, scène 3, SALMONEE)
Qu'ordonnez-vous ? v.776 (Acte 3, scène 5, BARSES)
Instruit de mes projets, vous osez tout pour moi, v.778 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Qu'avez-vous laissé croire ! v.792 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Ah ! Vous m'aviez promis d'avoir soin de ma gloire. v.793 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Qu'au culte de vos dieux vous puissiez renoncer ; v.803 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Ô ciel ! Que vous charmez mon amour et mon zèle ! v.820 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Eh bien ! Que faut il faire enfin pour vous sauver ? v.835 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Par ce zèle enflammé que vous me faites voir, v.862 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Oui, je crois voir en vous cet ange impérieux, v.866 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Vous replacer au trône où vous montiez sans moi. v.879 (Acte 3, scène 6, MISAEL)
Recevez donc ma main ; je vous suis asservie ; v.904 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
Je vous livre à jamais et mon coeur et ma vie : v.905 (Acte 3, scène 6, ANTIGONE)
Venait vous avertir de leur éloignement. v.911 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Du juif il prétendait vous enlever la mère, v.916 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Je vous ai déjà dit les chemins qu'ils ont pris. v.919 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Vous savez leur secret, gardez de me tromper ; v.967 (Acte 4, scène 4, ANTIOCHUS)
Que lui reprochez-vous, Madame ? Et quel affront v.990 (Acte 4, scène 5, THARES)
Pensez-vous que sa fuite imprime à votre front ? v.991 (Acte 4, scène 5, THARES)
Pourquoi vous hâtez-vous de le noircir d'un crime, v.1004 (Acte 4, scène 5, THARES)
Seigneur, ces fugitifs ne vous échappent pas. v.1042 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Et tandis qu'en ces lieux on va vous les conduire, v.1044 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Du succès du combat j'ai voulu vous instruire. v.1045 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Et les faits imprévus que je dois vous apprendre, v.1048 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Vous surprendront, Seigneur, si vous voulez m'entendre. v.1049 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
C'est de tous les mortels le plus grand après vous. v.1067 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Vous les verrez bientôt, Seigneur ; mais les voici. v.1083 (Acte 4, scène 7, HIDASPE)
Mais pour mon propre honneur, pour moi, plus que pour vous. v.1095 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Au sein de votre cour vous m'avez appelée. v.1100 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Je voulais votre gloire ; et vous m'êtes témoin v.1107 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Que si vous aviez crû ce que j'osais vous dire, v.1108 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Si mes conseils sur vous avaient eu plus d'empire, v.1109 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Vous chargez de vos fers toute une nation. v.1114 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Vous changez la victoire en persécution. v.1115 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Vous connaissez pourquoi j'ai suivi Misaël. v.1126 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
N'allez pas vous couvrir d'un opprobre nouveau ; v.1134 (Acte 4, scène 8, ANTIGONE)
Mais ne connaissez-vous que ce plaisir barbare ? v.1157 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Remportez sur vous-même une illustre victoire. v.1161 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Ou s'il vous faut, Seigneur, encor une victime, v.1168 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Eh ! Que vous servirait de frapper Antigone ? v.1180 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Espérez-vous qu'alors ma vertu m'abandonne ? v.1181 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Que la vie avec vous m'eût été précieuse ! v.1188 (Acte 4, scène 8, MISAEL)
Quoi donc ! Vous vous jurez de vous aimer toujours ! v.1195 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
Vous insultez au trouble où mon âme est en proie ! v.1196 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
Mais vous perdrez bientôt cette barbare joie. v.1197 (Acte 4, scène 8, ANTIOCHUS)
À cet affront mortel m'auriez-vous réservé ? v.1206 (Acte 4, scène 9, ANTIOCHUS)
Pour vous punir tous deux, ma jalouse vengeance v.1220 (Acte 5, scène 1, MISAEL)
Elle est israëlite ! Et vous êtes unis ! v.1246 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Et le tiran encor ne vous a pas punis ! v.1247 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Se démentirait-il jusqu'à vous faire grâce ? v.1248 (Acte 5, scène 2, SALMONEE)
Vous me faites frémir. Mais je dois demeurer ; v.1259 (Acte 5, scène 2, MISAEL)
Ah ! Vous voilà, Seigneur, tel que je vous demande ; v.1344 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
Si j'implore de vous une grâce plus grande, v.1345 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
À ce cher criminel que vous allez punir. v.1347 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
Pourquoi séparez-vous le fils d'avec la mère ? v.1348 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
Et mon zèle hardi ne vous paraît-il pas v.1350 (Acte 5, scène 4, SALMONEE)
Vos ordres sont remplis ; et je viens vous apprendre v.1360 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Sitôt qu'on vous a vu rentrer dans le palais, v.1362 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Je ne vous tairai point le murmure et les pleurs v.1366 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
De voir cette beauté qui vous était si chère, v.1369 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Vous vous plaisiez vous-même à verser vos bienfaits, v.1371 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Que jusques-là, seigneur, si j'ose vous le dire, v.1372 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Puissiez-vous vivre heureux comme je meurs heureuse, v.1381 (Acte 5, scène 5, ARSACE)
Oui ; vous êtes vengé, seigneur, ils ont vêcu. v.1402 (Acte 5, scène 5, ARSACE)

LE MAGNIFIQUE (1752)

Hé bien, mon frère, vous venez de l'avoir, vous venez de l'entendre. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Je suis sûr que vous la trouvez toujours plus charmante. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Vous avez raison. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Sa beauté est dans tout son éclat, rien n'y manque, et je gage que vous n'en connaissez guère de plus touchante. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Vous voyez la bonté de son esprit, sa douceur, sa docilité pour tout ce que je veux. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Il me semble que vous devez en être assez content. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous savez de plus, que je suis son tuteur, et que la volonté de ses parents me laisse le maître de disposer de son sort. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Eh bien que concluez-vous? (Acte 1, scène 1, HORACE)
Pourquoi donc s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Seigneur Aldobrandin, vous n'êtes point jeune. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous êtes avare. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous êtes jaloux. (Acte 1, scène 1, HORACE)
D'où je conclus, Monsieur mon frère, que rien n'est plus imprudent que le dessein de ce mariage, et que vous vous préparez à des accidents dont personne ne vous plaindrait. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous n'y entendez rien, mon frère, je n'ai plus qu'un reste de jeunesse, je n'ai point de temps à perdre. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Oh, je ne donne point dans vos belles maximes ; vous croyez, vous, que la grande précaution avec une femme c'est la confiance. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Oui, si on pouvait les lui ôter tous, mais vous seriez le premier qui auriez trouvé ce secret. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Je vous ai déjà dit que vous êtes avare. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous le dirai je ? (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Je crains que vous ne vous y preniez trop tard, ce ne sera pas un bon moyen de plaire à Lucelle que de lui ôter cette petite récréation. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Vous concluez ce mariage contre mon avis, mais malgré vos duègnes et vos barricades, vous ne tarderez guère à vous en repentir. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Je suis fâché de la petite disgrâce qui vous menace. (Acte 1, scène 1, HORACE)
Et vous, vous en riez d'avance ? (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Je vous avoue que j'ai bien de la peine à m'en empêcher et telle est l'étoile d'un jaloux ; tout votre frère que je suis, je crois que j'aiderais moi-même à vous tromper. (Acte 1, scène 1, HORACE)
En vous remerciant, mon frère, mais j'irai mon train, malgré vos plaisanteries, et je retourne de ce pas à Lucelle pour lui annoncer l'honneur que je lui fais. (Acte 1, scène 1, ALDOBRANDIN)
Vous voilà, Seigneur Zima, mon frère va se rendre ici tout à l'heure, il a quelque affaire à traiter avec vous. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Lucelle vous vient d'abord dans l'esprit. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous me répondez plus que vous ne pensez, par votre peu d'attention à ce que je dis. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous tournez les yeux de toutes parts dans l'espérance de voir Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Eh ! Que ne dites-vous amoureux ? (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous êtes bien pressant, Seigneur Horace. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Et vous bien dissimulé. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Je gagerais volontiers mille pistoles contre votre beau cheval d'Espagne que vous en voulez à Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous avez gagné Seigneur Horace, je vous enverrai le cheval dès que je serai de retour chez moi. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Non pas s'il vous plaît, j'avais trop beau jeu. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous l'aimez donc enfin ? (Acte 1, scène 3, HORACE)
Et c'est bien fait : Mais vous en tiendrez-vous là ? (Acte 1, scène 3, HORACE)
Laisserez-vous la plus belle fille de Florence au pouvoir de l'homme qui le mérite le moins ? (Acte 1, scène 3, HORACE)
Vous vous étonnez que je vous parle ainsi ; je suis frère d'Aldobrandin, mais c'est pour cela que je m'intéresse à la sottise qu'il est prêt de faire ; s'il épouse Lucelle voilà deux malheureux : une jeune fille dans l'esclavage, cela vous fait pitié ; mon pauvre frère dans un trouble éternel, cela me touche. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Il vous en coûte un argent infini dans toutes vos fêtes qui ne vont tout au plus qu'à être aperçues de Lucelle. (Acte 1, scène 3, HORACE)
Courage, vous dis je, rétablissez un peu l'honneur de la galanterie, il y a longtemps que nos amants n'ont fait parler d'eux à Florence. (Acte 1, scène 3, HORACE)
C'en est fait, je n'ai plus de défiance, je vois que vous êtes un bon parent. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Il faut répondre à vos intentions, et je vais vous ouvrir mon coeur. (Acte 1, scène 3, ZIMA)
Seigneur, je suis charmé de vous voir, je vous ai prié de vouloir bien passer ici j'ai, un marché à faire avec vous, ou plutôt j'ai une grâce à vous demander. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Parlez Seigneur, je suis trop heureux si je puis, vous obliger en quelque chose. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Vous le pouvez, et je compte beaucoup sur cette politesse magnifique que tout le monde vous connaît. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Je voudrais acheter votre maison ; j'ai dessein d'y faire mille accommodements où vous ne consentiriez peut-être pas, et que je ne dois pas risquer sur le fond d'autrui, je suis prêt de vous en donner un prix raisonnable : que m'en demandez-vous ? (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Cette Acquisition vous tient-elle bien au coeur ? (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Vous ne sauriez m'en donner moins de vingt-cinq mille écus. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Vous n'y songez pas, Seigneur, vous parlez, d'obliger, et vous m'en demandez un prix exorbitant, allons, quinze mille écus et finirons. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Vous vous moquez aussi, ce serait vous donner la maison, et vous croiriez l'avoir achetée ; encore vaudrait il mieux que vous m'en eussiez toute l'obligation. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Non s'il vous plaît, quinze mille écus, et je vous serai obligé tant qu'il vous plaira pour le reste. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Vous allez vous moquer de moi ! (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Expliquez-vous. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
On dit que vous avez chez vous une personne admirable, que Lucelle est un prodige d'esprit et de beauté. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
C'est que la Maison est à vous si... (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Si vous m'accordez un quart_d_heure d'entretien avec Lucelle, et déterminez vous, il ne s'agit plus de vingt cinq mille écus, je n'abandonne plus ma maison qu'à ce prix. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Quoi donc, me croyez-vous homme à commettre mon honneur et celui de Lucelle ? (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Non, non, vous me connaissez mal. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Vous vous épouvantez trop tôt ; j'imagine des conditions qui vont vous rassurer. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Comme je ne veux point attaquer sa sagesse, je consens que vous soyez présent. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Vous vous placerez de façon qu'aucune nos actions ne vous échappe ; il me suffit que vous n'entendiez pas nos discours. (Acte 1, scène 4, ZIMA)
Il est juste que vos caprices vous coûtent, et peut-être l'aventure vous corrigera-t-elle. Passez dans mon cabinet, signez moi une bonne cession de la maison. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Je vais faire venir Lucelle, et la montre sur la table, vous viendrez l'entretenir tout votre quart_d_heure en ma présence. (Acte 1, scène 4, ALDOBRANDIN)
Venez Lucelle, vous savez mes desseins : je vais être votre époux au premier jour, et les soumissions que vous avez toujours fait voir pour mes volontés, vont devenir pour vous un devoir encore plus indispensable. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Puisque c'est un devoir, vous y pouvez compter. (Acte 1, scène 6, LUCELLE)
Voilà parler en fille raisonnable, et je ne puis trop m'applaudir de mes soins, comptez aussi sur tout l'amour que mérite une docilité si touchante, et que je ne négligerai rien pour vous rendre heureuse. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Voici à présent ce que j'exige de vous, il m'importe pour certain intérêt, que vous saurez, que le Seigneur Zima vous entretienne un quart_d_heure ; j'y ai consenti. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Je ne sais ce qu'il a à vous dire, je me suis engagé à ne point l'entendre. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Je serai présent ; j'observerai toutes vos actions , et je veux que, les yeux toujours attachés sur moi, vous le laissiez parler tant qu'il lui plaira sans lui répondre un seul mot. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Que vous importe, ne vous suffit-il pas de ce que j'en pense ? (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Songez que désormais rien ne vous doit intéresser dans le monde que mes sentiments. (Acte 1, scène 6, ALDOBRANDIN)
Ma dessinée le veut, il faut bien vous complaire. (Acte 1, scène 6, LUCELLE)
Voici aussi Lucelle prête à vous écouter, regardez bien quelle heure il est à cette montre, sept heures dix minutes, dix minutes, la voilà sur la table, ne perdez rien de votre quart-d'heure. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Les moments me sont précieux, Charmante Lucelle, mais heureusement tout vous a déjà dit que je vous adore, toutes mes fêtes ont été des déclarations assez éclatantes ; et il ne me reste à vous demander pour prix de mon amour, que vous avez daigné l'apercevoir ; parlez de grâce, parlez, dites un mot. Si cet amour vous offense, je me retire dans le moment : Mais si vous l'avez vu avec quelque bonté, il n'est rien que je n'entreprenne pour mériter un plus grand bonheur. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Vous ne me répondez rien ; quelle froideur, que dis je, quel mépris injurieux dans ce silence ! Ah , vous n'êtes pas capable d'un dédain si grossier, c'est sans doute un jaloux qui vous gêne et qui m'envie jusqu'à la douceur de votre voix. Seigneur Aldobrandin ! (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Ne vous interrompez pas, les moments s'écoulent bien vite. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Il est donc vrai qu'Aldobrandin vous défend de me répondre : je ne saurais croire que vous vouliez lui complaire à ce point, par un véritable attachement pour lui : il en est indigne ; préféreriez vous un tyran qui n'imagine de plaisir que votre possession, sans s'embarrasser du bonheur de vous plaire, à un homme qui voudrait payer de mille vies le moindre de vos sentiments ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Non, vous n'aimez point Aldobrandin, vous lui obéissez malgré vous ; mais sa précaution est inutile, et il ne tiendra qu'à vous de la rendre vaine. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Je vais me parler pour vous, charmante Lucelle, vous pourrez désavouer d'un geste tout ce que j'oserai me dire. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
(C'est vous qui me parlez Madame) (Acte 1, scène 7, ZIMA)
J'ai vu vôtre amour, et je vous avoue même que j'en ai été touchée ; mais je dépends d'Aldobrandin, il est le maître de disposer de mon sort, je ne veux pas m'abandonner a une inclination qui ne saurait être heureuse. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Qui ne saurait être heureuse dites-vous ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Quoi donc est-il impossible de vous tirer des mains d'un jaloux ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Et si je vous mets en liberté de recevoir ma foi, et de m'engager la vôtre, vous refuserez-vous au plus amoureux et au plus fidèle de tous les hommes ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Non Zima, mais je n'ose me flatter du succès, et s'il manquait, à quel état m'auriez, vous réduite ? (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Que vous m'enflammez encore par de pareils discours. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Car enfin, c'est vous qui me parlez : Ne craignez rien, il suffit d'éluder quelque temps les instances du jaloux, différez seulement le mariage qui vous menace. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
C'est à moi de le prévenir, et et je vous en réponds au péril de ma vie. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Vous y avez mis bon ordre. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Ne vous découragez pas. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Je vous avertis déjà, qu'il va arriver ici une femme qui a toute ma confiance, et à qui vous pouvez donner la vôtre, le frère d'Aldobrandin est lui-même de notre intelligence ; c'est à vous de seconder nos vues puisque vous m'aimez, (car vous ne m'en désavouez pas;) votre vertu même doit tout tenter pour n'être qu'à moi. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Soyez content, il ne m'est pas échappé le moindre geste de désaveu, j'ai toujours eu les yeux sur mon jaloux, mais c'était pour le mieux surprendre : achevez ce que vous avez commencé, et délivrez-moi dès aujourd'hui s'il est possible de l'horreur de le revoir. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Je me rends, Seigneur Aldobrandin, la maison est à vous, je ne la tiens pas trop bien gagnée, je la mets sur votre conscience. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Pourquoi vous pressez-vous tant ? (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Il vous reste encore cinq bonnes minutes. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Elle est un peu silencieuse, mais vous en revanche je crois que vous lui avez dit de jolies choses. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Vous réussirez mieux une autre fois. (Acte 1, scène 7, ALDOBRANDIN)
Adieu, gardez la maison, mais je vous avertis que j'y sais un Trésor que je n'ai pas prétendu mettre dans notre marché, et que je m'y réserve tout mes droits. (Acte 1, scène 7, ZIMA)
Je vous assure que j'en ris encore de meilleur coeur que vous. (Acte 1, scène 8, LUCELLE)
Oui, ma chère Lucelle, je suis charmé de la joie que vous a donné l'étourderie de Zima : vous en riez encore, et vous voyez par là ce que c'est que les jeunes gens ; il lui en coûte sa maison pour s'être fait moquer de lui ; et voilà comme ils sont tous faits. (Acte 2, scène 2, ALDOBRANDIN)
Vous êtes trop heureuse, Lucelle, que par le choix que je fais de vous, je vous mette à couvert de tous ces dangers : vous méritiez un homme de ma prudence et de mon âge, qui veille sans relâche à votre fortune, et de qui la maturité vous répondit d'un attachement solide. (Acte 2, scène 2, ALDOBRANDIN)
Aussi je vous assure que je fais une grande différence de vous à lui, et vous le verrez bientôt par ma conduite. (Acte 2, scène 2, LUCELLE)
Oui, mon frère, je vous amène la gouvernante que notre ami commun vous envoie ; il me mande que c'est un trésor, et que vous pouvez entièrement vous reposer à sa vigilance et à sa discrétion. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Vous rougissez ? (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Voici, Seigneur, une Lettre du Seigneur Albert_de_Bologne, je vous conseille de vous en fier plus à lui qu'à ma physionomie. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
La personne que je vous adresse est admirable pour sa vigilance et ses bons conseils, elle a fait ici la sûreté de plusieurs maris ; je souhaite qu'elle fasse aussi la vôtre. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Je connais son style, il fait le plaisant ; je crois pourtant qu'il a raison ; mais serait-il vrai, que vous eussiez fait mourir ces femmes de chagrin ? (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Si je ne la fais pas aimer ; le Ciel de sa grâce m'en a accordé le talent ; oui, je vous tourne si bien un jeune coeur qu'en moins de rien j'y change le devoir en plaisir, et que j'ôte à tout ce qui est défendu le goût vif qu'on prétend que la défense lui donne, je ne le dis pas pour me vanter, mais faut rendre grâces au Ciel de ses dons. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
Oui, qu'en dites vous ? (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Vous pensez bien d'elle, et elle le mérite. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Non, Madame, vous ne vous trompez pas ; je sais et je sens tout ce que je devrai à un époux ; et celui qui veut être le mien, doit s'assurer que son amour seul fera plus sur moi, que tous les surveillants du monde. (Acte 2, scène 3, LUCELLE)
Quand c'est tyrannie de sa part, une femme trouve bientôt moyen de s'en venger ; mais une femme sage doit les souhaiter pour sa propre gloire ; on la soupçonne aisément, quand elle a la facilité de faillir ; il faut qu'elle s'en ôte scrupuleusement toutes les occasions pour faire taire la médisance ; tenez, Mademoiselle, par exemple, est Personne à vous conjurer au premier jour de prendre toutes les précautions de la jalousie, non pas pour votre tranquillité, mais pour la sienne. (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
Cela est indigne, quand il n'y n'y aurait que l'ennui de leur mauvais compliments, je fuirais au bout du monde pour les éviter ; je m'échauffe, je vous en demande pardon, mais l'honneur des femmes est si précieux ! (Acte 2, scène 3, LA GOUVERNANTE)
N'est-il pas plaisant, que je sois plus soupçonneux que vous ? (Acte 2, scène 3, HORACE)
Zima va l'aborder, sans doute, nous les observerons, vous verrez par vous même si elle est personne à se laisser séduire. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Attendez ici un moment je vous rejoins tout à l'heure. (Acte 2, scène 3, ALDOBRANDIN)
Songez à vous, on vous écoute. (Acte 2, scène 3, HORACE)
Un jeune Homme ose entrer jusqu'ici, oh, oh, le bon ordre n'est pas encore ans cette maison, il faudra l'y mettre ; halte là Seigneur, que cherchez-vous ? (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Prenez garde on nous observe, faites semblant de me vouloir corrompre, vous allez voir un dragon de vertu. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Êtes-vous de cette maison, ma bonne Dame ? (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Oui, Monsieur : à qui en voulez-vous vous dis-je, avez vous quelque chose à me dire [?] (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Vous êtes nouvelle ici ce me semble ? (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Je n'y suis que d'aujourd'hui ; mais vous l'on m'en veut croire, vous y venez pour la dernière fois. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
C'est que vous le prenez vous d'un ton trop doucereux, vous avez l'air d'un amant, et mon devoir est d'écarter tous ceux qui vous ressemblent. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Je suis ravi de vous savoir auprès de Lucelle, vous me paraissez une personne fort raisonnable, et je crois que vous la serviriez volontiers si elle avait quelque inclination honnête. (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Qu'appelez-vous quelque inclination honnête ? Ne savez vous pas qu'elle épouse Aldobrandin, et qu'il n'y a plus rien d'honnête pour elle, que de l'aimer uniquement ? (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Doucement, doucement, ma vénérable dame ; mille pistoles, deux mille pistoles ne vous croient-ils pas trouver mes intentions meilleures ? (Acte 2, scène 4, ZIMA)
C'est où je vous attendais. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Vous voilà donc un amant déclaré ; sachez que vous m'en donneriez cent mille, je ne vous servirais pas mieux que je fais : je sais pourquoi je suis entrée dans cette maison, et ce qu'on s'y promet de moi, je ferai mon devoir, et j'en sortirai à mon honneur, sur ma parole. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Vous êtes bien inflexible. (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Tenez toutes ces invectives là ne vous enrichiront pas, et je serais homme à le faire moi si vous le vouliez. (Acte 2, scène 4, ZIMA)
Non, non détrompez-vous. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Vous me connaissez, cherchez fortune ailleurs, gardez vos présents pour qui vous servira. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Vous voyez comme je m'y prends pour vous seconder, comptez que je serai toujours la même. (Acte 2, scène 4, LA GOUVERNANTE)
Il faut avouer que vous êtes une femme merveilleuse. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Quoi, vous m'écoutiez ? (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Si je vous écoutais ! (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Je ne saurais m'en tenir, il faut que je vous embrasse. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Dispensez m'en s'il vous plaît. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Vous vous moquez, c'est pousser la pudeur trop loin. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Ma foi, vous m'inspirez presqu'autant de respect que de confiance. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Vous avez traité le Seigneur Zima de manière que je ne pense pas qu'il y revienne. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Vous êtes trop heureux , je ne crains plus pour vous de disgrâce conjugale, je vois que tout concourt à vous en affranchir, je n'espérais pas que les choses se tournassent si heureusement. (Acte 2, scène 5, HORACE)
Vous n'êtes point encore le mari de Lucelle, Zima le sait, il est homme à ne rien négliger pour vous l'enlever ; de la façon dont il s'y prend on vient à bout de tout ; m'en croirez vous ? (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Quand vous proposez-vous d'épouser ? (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
En avez vous de plus importantes tes que celle-ci ? (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Vous m'effrayez, Zima peut les mettre à profit, et il n'aura pas d'autres affaires, lui. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Croyez moi, vous dis-je, épousez dès ce soir, qu'on le sache aussi par toute la ville ; que Zima perde tout espoir ; c'est le seul moyen d'arrêter toutes ses poursuites, et même d'éteindre son amour. (Acte 2, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Je me rends de bon coeur à un ami si sage, allez mon frère, allez vous-même chercher le notaire, qu'il apporte le contrat, nous le signerons tout_à_l'heure. (Acte 2, scène 5, ALDOBRANDIN)
Que vous plaît-il ? (Acte 2, scène 6, LUCELLE)
J'avance, ma chère enfant, l'instant de notre bonheur ; on est allé chercher le notaire, et je vous épouse dès ce soir. (Acte 2, scène 6, ALDOBRANDIN)
Vous me surprenez, ne m'aviez vous pas promis quelques jours pour me préparer à ce changement d'état ? (Acte 2, scène 6, LUCELLE)
Je vois que vous vous alarmez Mademoiselle, et c'est une bonne marque ; une fille bien élevée comme vous, ne passe pas à l'état de femme sans émotion, il lui faut quelques jours pour y accoutumer sa pudeur, mais nous avons eu des raisons de hâter l'affaire, et cela pour vous assurer l'époux que vous souhaitez. (Acte 2, scène 6, LA GOUVERNANTE)
C'est moi même qui ai conseillé au Seigneur Aldobrandin de conclure dès ce soir, il faut bien vous délivrer de la persécution, c'est pour votre vertu que l'on travaille. (Acte 2, scène 6, LA GOUVERNANTE)
Ah ! C'est ce que je ne saurais vous dire ; cet amour n'est dû qu'à un époux, et un pareil aveu ne m'échappera qu'en donnant ma main. (Acte 2, scène 6, LUCELLE)
Vous êtes servi à point nommé mon frère. (Acte 2, scène 7, HORACE)
Tenez, Seigneur Aldobrandin, le contrat était tout prêt, il est en bonne forme, vous pouvez le lire. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Et vous Mademoiselle mettez-y le vôtre ; allons point de timidité. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Comptez que vous signez votre fortune. (Acte 2, scène 7, LA GOUVERNANTE)
Et vous, mon frère, vous n'étiez pas tantôt d'avis de ce mariage, vous signerez pourtant. (Acte 2, scène 7, ALDOBRANDIN)
Oui Seigneur Aldobrandin, je vous ai cédé ma maison, elle est bien employée ; mais voilà le trésor que je m'y réservais, et vous venez vous-même de le mettre en ma possession de la meilleure grâce du monde. (Acte 2, scène 7, ZIMA)
Voilà celui que vous avez lu, et je lui ai substitué celui-ci que vous avez signé comme tuteur Monsieur, et Mademoiselle comme épouse... (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
C'est un avis de parents : Monsieur votre frère m'en a prié pour l'amour de vous : D'ailleurs Monsieur est si Magnifique, que l'on ne saurait lui rien refuser. (Acte 2, scène 7, LE NOTAIRE)
Non, mon frère, tout vous a servi ; vous alliez faire une sottise, vous en êtes quitte, et vous avez encore une maison de reste. (Acte 2, scène 7, HORACE)
Monsieur, il y a là des instruments qui vous demandent. (Acte 2, scène 8, LE LAQUAIS)
Seigneur Aldobrandin, trouvez bon qu'ils entrent ; j'aime mieux encore vous laisser la dot de Lucelle. (Acte 2, scène 8, ZIMA)
Ma foi Seigneur Zima le notaire avait raison, on ne saurait vous refuser. (Acte 2, scène 8, ALDOBRANDIN)
Qui vous a forcé de vous rendre ; v.32 (Acte 2, scène 10, LE CHANTEUR DU VAUDEVILLE)

CANENTE (1752)

Sylvains, empressez-vous d'embellir ce séjour. v.12 (Acte 0, scène 1, L'AURORE)
Doit vous offrir encore v.16 (Acte 0, scène 1, L'AURORE)
Un spectacle pour vous plus charmant que le jour. v.17 (Acte 0, scène 1, L'AURORE)
Et vous Échos, réveillez-vous, v.30 (Acte 0, scène 1, VERTUMNE)
Et vous, Échos, réveillez-vous, v.36 (Acte 0, scène 1, LE CHOEUR)
Picus va vous devoir un trône glorieux, v.62 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Et vous me l'avouez vous-même. v.71 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Rejetez ce poison que l'Amour vous présente v.79 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Le Héros qui vous charme est soumis à Canente v.80 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
À qui vous rendra plus heureux. v.167 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Tout fléchit sous vos lois, tout s'empresse à vous plaire, v.168 (Acte 2, scène 3, CIRC?)
Quoi ! Tant d'autres pour vous n'ont que de faibles armes. v.175 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Mais comme vous le Tibre en est charmé ; v.186 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Faut-il vous opposer à l'ardeur de son âme ? v.187 (Acte 2, scène 3, CIRC?)
Ne sauriez-vous brûler d'une ardeur plus tranquille. v.192 (Acte 2, scène 3, CIRCÉ)
Qu'à vous faire un destin aussi doux que le nôtre. v.199 (Acte 2, scène 3, PICUS)
Eh bien ! Laisserez-vous servir tous vos bienfaits v.204 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
C'est l'Amour en courroux qui vous offre mon coeur, v.212 (Acte 2, scène 4, CIRCÉ)
C'est l'Amour en courroux qui vous ouvre mon coeur v.218 (Acte 2, scène 4, CIRC?)
C'est l'Amour en courroux qui vous ouvre mon coeur. v.224 (Acte 2, scène 4, CIRC?)
Ne vous arrêtez point ; ma voix n'a plus de charmes ; v.226 (Acte 3, scène 1, CANENTE)
Ne vous arrêtez point, ma voix n'a plus de charmes, v.235 (Acte 3, scène 1, CANENTE)
Je vous revois couvert d'une nouvelle gloire, v.242 (Acte 3, scène , CANENTE)
Que vous pussiez briller d'une beauté nouvelle, v.248 (Acte 3, scène , PICUS)
Cependant chaque jour je vous trouve plus belle, v.250 (Acte 3, scène , PICUS)
Sans vous le jour m'est un supplice, v.252 (Acte 3, scène , PICUS)
Loin du Temple tantôt quel soin vous retenait ? v.253 (Acte 3, scène , PICUS)
Dans le temps qu'on vous couronnait. v.255 (Acte 3, scène , CANENTE)
Si vous n'y montiez avec moi. v.263 (Acte 3, scène , PICUS)
Aimez-vous sans mystère, aimez-vous sans alarmes, v.268 (Acte 3, scène 3, CIRCÉ)
Je vais le préparer, je vous laisse Canente ; v.273 (Acte 3, scène 3, PICUS)
Que son bonheur vous soit aussi cher que le mien. v.275 (Acte 3, scène 3, PICUS)
Vous l'enflammez au milieu de son onde. v.281 (Acte 3, scène 4, CIRCÉ)
Vous trouvez un bonheur plus grand v.284 (Acte 3, scène 4, CIRCÉ)
Mais ne craignez-vous point de regretter le rang v.286 (Acte 3, scène 4, CIRC?)
Où votre beauté vous appelle. v.287 (Acte 3, scène 4, CIRC?)
Voyez de quels sujets vous êtes souveraine. v.294 (Acte 3, scène 5, UN DIEU DE LA TROUPE)
C'est pour voir en vous notre Reine v.295 (Acte 3, scène 5, UN DIEU DE LA TROUPE)
Des honneurs éclatants dont il veut vous combler. v.299 (Acte 3, scène 5, UN DIEU DE LA TROUPE)
Nymphe redoutez moins l'honneur qu'on vous adresse. v.301 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Rien ne vous touche à votre tour ? v.317 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
De l'hommage empressé que vous offre ma Cour, v.318 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Vous souhaitez qu'on vous délivre ! v.319 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Vous en étonnez-vous ? Vous savez mon amour. v.320 (Acte 3, scène 7, CANENTE)
C'est le mien que vous devez suivre. v.321 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Venez, montez au rang où l'Amour vous appelle ; v.324 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Il vous devait un Dieu, c'était trop peu d'un Roi. v.325 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Vous ne répondez rien, vous vous troublez, cruelle , v.326 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Pour vous hélas ! Est-ce un sujet d'effroi v.327 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Que vous sert de m'offrir un honneur odieux ? v.330 (Acte 3, scène 7, CANENTE)
Ah ! Ce respect outrage un Dieu qui vous adore, v.336 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Avec le plus haut rang vous refusez ma main ; v.337 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Je connais à quel point ma tendresse vous gêne v.338 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Et c'est sur les faveurs que je vous offre en vain v.339 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Que vous m'apprenez bien par ces cruels discours v.346 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Le destin d'une ardeur qui vous est odieuse ; v.347 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Vous êtes trop ingénieuse v.348 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Et si l'Hymen pour vous allume ses flambeaux, v.356 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Pour porter jusqu'à vous d'affreux débordements, v.358 (Acte 3, scène 7, LE TIBRE)
Déesse à ces transports daignez vous opposer. v.363 (Acte 3, scène 7, CANENTE)
Vous pouvez m'arracher la vie, v.376 (Acte 3, scène 7, CANENTE)
Je vous l'ai déjà dit, et je vous le promets ; v.380 (Acte 3, scène 7, CIRCÉ)
Enfin, Nymphe, avez-vous compris v.408 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Vous méprisez des Dieux l'avantage suprême ? v.413 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Pouvez-vous ne pas voir les charmes v.417 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Des honneurs que vous refusez ? v.418 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Et pouvez-vous voir sans alarmes v.419 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Les maux où vous vous exposez ? v.420 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Vous vous troublez, vous répandez des larmes ? v.421 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Je ne m'en défend point, vous voyez la frayeur v.422 (Acte 3, scène 2, CANENTE)
Puisque vous voulez m'y réduire ; v.427 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Le destin de Sylla doit assez vous instruire, v.428 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Ministres de mon art, vous que la rage anime, v.440 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Venez, rassemblez-vous, voilà votre victime ; v.442 (Acte 3, scène 2, CIRC?)
Je vous laisse le soin de vaincre sa constance v.452 (Acte 3, scène 2, CIRCÉ)
Que la pitié, que l'Amour vous désarme ; v.465 (Acte 3, scène 4, CANENTE)
Seriez-vous encore moins sensibles ? v.469 (Acte 3, scène 4, CANENTE)
Que la pitié, que l'Amour vous désarme. v.473 (Acte 3, scène 4, CANENTE)
Tout vous en presse ; v.485 (Acte 3, scène 4, CHOEUR DES GRÂCES)
Vous ne brûlerez plus d'une ardeur inutile, v.498 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Mes soins ont réussi, vous allez être heureux. v.499 (Acte 3, scène 5, CIRC?)
Elle a pu vous toucher pour la première fois ? v.505 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Vous donner des coeurs moins timides, v.507 (Acte 3, scène 5, CIRC?)
Dévorez, malgré vous, ma rivale à mes yeux. v.509 (Acte 3, scène 5, CIRC?)
Non, ma fureur ne peut vous obéir. v.514 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Si vous attentez sur sa vie, v.515 (Acte 3, scène 5, LE TIBRE)
Et Picus alarmé vous cherche en ce Palais. v.526 (Acte 3, scène 5, NÉRINE)
Venez, vous saurez mes projets. v.527 (Acte 3, scène 5, CIRCÉ)
Mais me répondez-vous.... v.528 (Acte 3, scène 5, LE TIBRE)
Ciel ! Que me dites-vous ? La croirai-je infidèle ? v.529 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Vous doutez que la Gloire ait pu la dégager, v.535 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
Je comprends trop comme on vous aime, v.537 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Pourriez-vous à mes voeux refuser sa présence, v.545 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Aidez-vous la perfide à me percer le coeur ! v.546 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Le dépit doit vous dégager, v.548 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
Vous trouveriez celui de vous venger. v.550 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Mon rival vous rend infidèle ? v.552 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Quoi, vous sacrifiez mes feux à ses amours ? v.553 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Il vous est doux d'être immortelle, v.554 (Acte 5, scène 1, PICUS)
Sombre mystère et vous profond silence, v.571 (Acte 5, scène 2, LA NUIT)
Il faut vous détromper, votre nymphe est fidèle. v.615 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Vous l'accusiez d'une perfide ardeur. v.616 (Acte 5, scène 3, PICUS)
Je vous aime, et l'Amour m'avait armé contre elle, v.617 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Mais je cède à vos feux, il faut vous rassurer, v.618 (Acte 5, scène 3, CIRC?)
Je ferai plus, je veux vous unir dès ce jour. v.621 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Connaissez tout mon coeur, je sens que je vous aime, v.622 (Acte 5, scène 3, CIRC?)
Jusqu'à pouvoir pour vous immoler mon amour. v.623 (Acte 5, scène 3, CIRC?)
Après tant d'artifice, ô Dieux, vous puis-je croire ? v.624 (Acte 5, scène 3, PICUS)
Ô vous, cruelles soeurs, noires filles du Styx, v.628 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
L'Amour au désespoir par ma voix vous appelle. v.635 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Ô vous, cruelles soeurs, noires filles du Styx, v.636 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Mais je ne veux que vous pour ces noces affreuses, v.648 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
C'est à vous de les célébrer. v.649 (Acte 5, scène 1, CIRC?)
Vous, paraissez ces Dieux qu'attendent leurs désirs, v.660 (Acte 5, scène 1, CIRCÉ)
Inhumaine Déesse, à quoi consentez-vous ? v.663 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
Quoi vous comblez du Roi les désirs les plus doux ! v.664 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
Par vous son bonheur se prépare ? v.665 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
Et que vous ai-je fait, barbare, v.666 (Acte 5, scène 2, LE TIBRE)
L'Amour vous appelle, v.692 (Acte 5, scène 3, LE CHOEUR)
L'Hymen vous attend. v.693 (Acte 5, scène 3, LE CHOEUR)
Venez, qu'un noeud charmant vous joigne l'un à l'autre. v.694 (Acte 5, scène 3, CIRCÉ)
Le prix de notre effort est de vous voir heureux. v.697 (Acte 5, scène 3, LE TIBRE, CIRCÉ)
Que vois-je ? On me trompait, la douleur vous accable. v.738 (Acte 5, scène 4, LE TIBRE, PICUS)
Sont-ce-là les plaisirs dont vous flattiez mon coeur ? v.741 (Acte 5, scène 4, LE TIBRE, PICUS, CANENTE)
Laissez-vous attendrir, calmez sa peine affreuse. v.742 (Acte 5, scène 4, PICUS)
Cher Prince, c'en est fait, vous me voyez mourante, v.745 (Acte 5, scène 4, CANENTE)
La douleur vous arrache une fidèle amante. v.746 (Acte 5, scène 4, CANENTE)
Et ma flamme pour vous ne fut jamais si vive, v.749 (Acte 5, scène 4, CANENTE)
Vous, en vous replongeant au ténébreux rivage, v.759 (Acte 5, scène 4, CIRCÉ)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 9 textes (soit une présence dans 0,48 % des textes) dans lesquels il y a 1288 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 143,11 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 0	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Prologue	Acte 5	Acte 6	Total
1	LA MATRONE D'?PH?SE	98	0	0	0	0	0	0	0	98
2	LE CARNAVAL ET LA FOLIE	33	13	23	23	22	0	0	0	114
3	AMADIS DE GRÈCE	9	0	12	23	14	0	13	0	71
4	INÈS DE CASTRO	52	0	63	64	70	0	40	0	289
5	OMPHALE	20	0	31	7	16	3	22	0	99
6	LES MACHABÉES	32	0	46	69	33	0	18	0	198
7	LE MAGNIFIQUE	99	0	68	0	0	0	0	0	167
8	CANENTE	0	5	27	69	0	0	40	0	141
9	SCANDERBERG	0	0	22	27	24	8	16	13	110
10	LE MAGNIFIQUE	0	0	1	0	0	0	0	0	1
	Total	343	18	293	282	179	11	149	13	1288